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[Quête mineure] Aventure bordélique à Brâkmar

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Message par Pinnoze 02.12.20 11:09

Ordre de mission:

Retranscription de l'ordre de mission:

C'était ce message qui avait fait venir l'agent du Cœur devant cette taverne, ce 21 novamaire. La bonne blonde ne faisait pas tache dans l'allure sombre de Brâkmar. La taverne était fait d'un bois sombre comme du charbon mais suffisamment résistant au vu de la devanture. Cette dernière avait trois rangées de fenêtres. Mais  sur la dernière, les fenêtres étaient scellées par des planches. Tout en bas se trouvait la porte avec un panneau indiquant que le bâtiment était ouvert. Après avoir lancé un regard intrigué, se demandant bien ce qu'elles pouvaient cacher, Varjo décida de rentrer dans la taverne en franchissant la porte.

A l'intérieur du bâtiment, la pièce était assez grande pour posséder un comptoir servant de bar, ainsi que des tables entourées de banquettes violettes. En balançant son regard, Varjo pouvait voir dans le fond un escalier qui montait et en dessous de ce dernier une porte. Son regard se redirigea vers le bar qui avait l'air d'être déjà animé avant l'arrivée de l'agent. En effet, une iop vêtue de rose, qui était derrière le comptoir, était vraisemblablement en train de se faire draguer. Cette personne était couverte de bandelettes sales et était également entourée par un homme et une femme tous les deux vêtus légèrement.

Varjo alla à la rencontre du xélor et l'aborda avec un air enthousiaste ainsi qu'un grand sourire.

-Bonsoir ! Je vois que vous êtes bien entouré et que vous avez du succès ! Est-ce que vous êtes un habitué réputé de la taverne ? A moins que vous ne soyez une célébrité locale ? Je veux savoir !

Ceci fit changer de cible le regard du xélor, le faisait passer de la iop au blond.

-Bonsoir. Non, je suis en voyage et même si je suis bien accompagné ce n'est pas celle qui occupe mon regard.

Sur ses mots, il reposa ses yeux sur la iop rose. Cette dernière profita de cette occasion d'avoir de nouveau son attention pour faire une remarque.

-Monsieur, je vous ai déjà dit que ce n'est pas mon travail. Mais Igénie vous propose ses services depuis tout à l'heure.

Elle montra de sa main la sacrieur peu vêtue qui se tenait à côté de lui. En entendant la réponse du xélor et en voyant comment il s'adressait à la iop, Varjo changea complètement d'attitude et porta un regard sévère sur l'individu aux bandelettes :

-Ah, vous n'êtes ni célèbre ni réputé ? Tant mieux, car il se trouve que vous vous adressez à ma femme et que, non seulement elle n'offre pas ce genre de service, mais que si vous insistez, vous aurez des ennuis ! Alors arrêtez tout de suite ou je porte plainte pour harcèlement !

Toutes les personnes présentes, hormis les deux peu vêtus, se retournèrent vers Varjo.

-Alors tu peux venir avec nous, cela ne me dérange pas d'être trois.

Cette réflexion fit se lever la sacrieur qui devenait de plus en plus rouge, tandis que l'Eniripsa peu vêtu essayait de se cacher derrière elle. Étonné par la réponse du xélor, Varjo lui répondit avec humour.

-Eh bien dans ce cas, suivez Igénie, elle va vous guider vers votre chambre pour vous aider à vous changer et à vous préparer avec son acolyte sniripsa, puis lorsque ça sera fait, celui-ci viendra nous chercher pour qu'on vous rejoigne !

Le voyageur sourit alors à la proposition de Varjo et se leva.

-Amenez moi à la chambre alors.

-Suivez-moi, Monsieur.

La sacrieur lui souriait car elle avait compris qu'elle pourrait s'exercer librement dans son art de chambre. L'eniripsa les suivit à l'étage sans comprendre tout le plan de protection du blondinet. Il ne restait alors plus que Varjo et la barmaid dans la salle. Cette dernière se tourna vers le Cœur et le remercia d'un sourire. Le blondinet lui sourit alors en retour.

-J'espère que cet homme ne vous a pas trop importuné et que ce genre de mésaventure ne vous arrive pas souvent ! Le comportement de cet individu m'a intrigué : est-ce qu'il y a beaucoup de gens qui, comme lui, viennent de loin pour réserver une chambre avec les filles d'ici ?

-Oui même si c'est plus souvent des habitués qui viennent consommer. Sinon je vous sert quoi, Monsieur ?

-C'est la première fois que je viens ici et je ne sais pas très bien ce que vous servez : quelles sont vos boissons habituelles et vos spécialités ?

La femme sortit quelques bouteilles bouteilles des étagères pour les poser sur le comptoir.

-Actuellement nous avons de la bière, de l'eau de vie, du vin et de l'eau pour les enfants. Et sinon notre spécialité est la qualité des chambres ainsi que des personnes qui peuvent vous y amener.

Varjo désigna la bière qui se trouvait sur le comptoir.

-D'accord, merci, je prendrai donc de la bière ! C'est vous qui gérez cet établissement ? Vous avez un bon personnel en tout cas !

La iop vida la bouteille remplit de bière dans un verre qu'elle tendit à Varjo.

-Non je ne fais que travailler ici.

Elle rangea ensuite les différentes bouteilles à leurs places. Varjo prit la boisson, qu'il paya, puis en but une gorgée avant de poursuivre la discussion.

-Ah d'accord ! Dans ce cas, pour qui vous travaillez ?

La iop réfléchit avant de terminer de tout ranger.

-Nous n'avons pas vraiment de patron, nous travaillons chacun pour les autres.

Varjo en fut étonné.

-Oh je vois, c'est une bonne chose, ce système d'entraide ! A part vous, les autres personnes qui travaillent ici ont toutes la même fonction ou bien elles fournissent des services différents ?

-Non, je suis la seule qui ne fait pas les services habituelles. Après certaines personnes, on des talents extérieurs à ce qu'elles proposent ici.

Intrigué, Varjo voulut en savoir plus.

-Oh, intéressant ! Quels genres de talents ?

-Parfois c'est le vidage de bourses ou l'échange. Mais pour moi, c'est la qualité des cocktails que nous proposons ici.

-Ha ha, d'accord ! Dans ce cas, j'aimerais bien goûter vos cocktails !

Le sourire de la rosée s'effaça légèrement.

-Malheureusement, nous n’avons plus de stock. Je ne peux plus en servir.

Varjo fut déçut de cette nouvelle.

-Ah quel dommage ! Est-ce que d'autres stocks sont prévus ?

-Madame Matia m'a dit qu'elle allait voir pour reprendre du stock. Mais je ne sais pas quand elle reviendra.

-Je vois... Vous savez où je pourrais la trouver ?

-Je ne sais pas où elle est allée, désolée Monsieur.

-Pas grave ! Bon, je vais aux toilettes !

A ces mots, Varjo finit son verre puis se dirigea vers la porte du fond qu'il avait vue en entrant. La barmaid le regardait se diriger vers les toilettes avant de nettoyer le comptoir.

L’agent du Cœur ouvrit la porte qui se trouvait en dessous de l'escalier. Il découvrit alors une petite pièce ayant juste des toilettes et un lavabo dans un état douteux. Le blondinet inspecta le lavabo et le reste de cette petite pièce. Tout ce qu'il trouva est, dans un coin, une pile de papier toilette, ainsi que des fissures et des taches d'humidité qui se trouvaient sous le lavabo. Tandis qu'il inspectait le tout, le Cœur entendit des bruits de pas venant de l'escalier qui se trouvait juste au-dessus de sa tête.

Intrigué par ceux-ci, Varjo entrouvrit la porte des toilettes pour tenter de voir discrètement de qui il s'agissait. Les yeux du blondinet pouvaient voir deux personnes de plus dans le bar. La première était une personne bronzée ayant de long cheveux verts et paraissant aussi peu vêtue que la sacrieur de tout à l'heure. L'autre était une immense personne possédant une armure ainsi qu'un masque fait d'une simple planche de bois. La personne verte se mit au bar en faisant des signes d'au revoir au masqué qui partit rapidement de l'établissement. Après avoir vu les deux individus, Varjo voulut en savoir plus sur ce qu'il se passait à l'étage et sortit des toilettes pour monter les escaliers.

Après avoir prit les escaliers, il arriva alors à l'étage. Ce dernier était un long couloir ayant sur sa gauche une rangée de trois portes et au bout un escalier condamné par des planches croisées en X. Mais quelque chose lui sauta aux yeux, c'était une personne assise sur un tabouret. Cette dernière semblait être une vieille femme même si il était dur de le dire avec certitude. Ses cheveux gris étaient attachés en tresse. Même si elle était plus vêtue que les personnes qui avaient accompagné le xélor, sa posture n'en était pas moins aussi tendancieuse. Elle était placée devant les chambres et était en train de regarder fixement Varjo. Se sentant observé par la femme, le blondinet alla à sa rencontre.

-Bonsoir, vous aussi vous attendez quelqu'un ? Car une des filles m'avait donné rendez-vous en haut mais elle ne m'a pas dit où ! Est-ce qu'il y a aussi des chambres au deuxième étage ?

La femme sourit à l'entente de ce rendez-vous avec une de ses filles.

-Mon petit, je n'attends personne, je surveille. Si l'une de mes filles t'a donné rendez-vous alors cela doit être dans ces chambres-là.

Elle pointa les chambres de droite et du milieu.

-L'autre est occupée en ce moment.

-D'accord, merci, je vais y aller !

Varjo se dirigea alors vers la porte de droite et l'ouvrit pour rentrer. Une fois dans la chambre il vit que cette dernière était une chambre avec une fenêtre donnant sur la rue. Les murs étaient étonnamment bien entretenus avec un vert herbe. Sur les bords de ses derniers, se trouvait deux armoires. La pièce était aménagée d'un grand lit à deux places. A côté de ce dernier, il y avait une table de chevet avec une bougie éteinte à moitié utilisée. L'agent du Cœur pouvait sentir un léger parfum de fleur venant de cette dernière. Le Douzien ouvrit l'armoire de gauche et vit des draps de différentes couleurs mais de même matière. Ils étaient tous soigneusement rangés en pile comportant draps, taies d'oreiller et d'autres types de draps. Il y avait également des couettes. Varjo vit qu'il y avait deux places vides. Ces places étaient, si on suivait la logique de rangements, réservées pour deux piles de draps.

Le blond ouvrit ensuite l'armoire de droite et vit des choses totalement différentes de celle de gauche. En effet dans cette dernière se trouvaient des bougies, des allumettes, mais également une corde de cinq kamètres et des masques ainsi que des plumes de piou de différentes couleurs.
Face à ces nouvelles trouvailles, l'agent du Cœur mit les allumettes, des plumes ainsi qu'une bougie éteinte dans sa poche, puis cacha un des masques sous sa tunique et s'empara de la corde en l'enroulant sur son épaule. Ceci fait, il alla vers la fenêtre, l'ouvrit et regarda ce qu'il se passait dans la rue avant de diriger son regard au-dessus de lui pour tenter d'apercevoir la fenêtre de l'étage supérieur. La nuit régnait dehors. Il y avait parfois quelques passants qui se baladaient dans la rue. La seul lumière de la rue était des lampadaires qui l'éclairaient.

Varjo referma la fenêtre, puis prit les draps de l'armoire de gauche qu'il enroula et plaça sous les couvertures du lit pour former un faux corps. Il prit ensuite un oreiller qu'il plaça sous son bras, referma les armoires et alla sur le lit pour sautiller dessus pendant plusieurs minutes, en veillant à éviter la partie rembourrée des draps. Après ça, il se précipita vers la porte, qu'il entrouvrit, puis cria en direction de la vieille femme du couloir :

-Viiite, Madame, venez m'aider, j'y ai été trop fort et elle a fait un malaise !

La femme, qui était sur le tabouret, déboula alors dans la pièce.

-Ma fille !

Varjo pointa le lit du doigt d'un air inquiet.

-Venez la voir de plus près, je crois qu'elle est tombée dans le coma !


Dès que la vieille femme se pencha pour inspecter le lit, Varjo surgit soudain par derrière et lui plaqua son coussin sur le visage pour l'empêcher de crier. Ceci était facile mais lorsqu'il commença à la ligoter cela était plus difficile. En effet, la vielle dame se dandinait de toute part comme si elle essayait de ne pas empêcher Varjo de l'attacher mais d'essayer d'orienter les nœuds de la corde.
Juste après avoir ligoté la vieille femme, Varjo la plaça sur le lit et la mit dans les couvertures, à côté du faux corps. Ceci fait, il sortit son masque de sa tunique, le mit sur son visage, puis prit un des draps de l'armoire de gauche qu'il se noua autour du cou pour se faire une longue cape, sur laquelle il colla des plumes de piou grâce à la cire des bougies. Une fois costumé comme le piower ranger vert, il sortit de la chambre comme si de rien n'était et retourna dans le couloir pour tenter d'atteindre l'escalier condamné par les planches. Durant sa transformation des bruits se faisaient entendre dans la chambre d'à côté même si ces sortes de cris étaient de moins en moins présents.  Mais également durant durant toute cette transformation, la ligoté l’avait regardé se changer d'abord avec de l'incompréhension avant que cela ne soit de la colère et de la haine.

Une fois arrivé devant l'escalier barré par des planches en forme de X, il n'entendit plus du tout les bruits de la chambre d'à coté. Varjo monta alors à l'étage en enjambant le X fait par les planches. Durant son ascension, il entendit d'autre bruits venant de l'étage précédent. Arrivé à l'étage, même si sa bougie lui donnait de la lumière, il voyait en partie grâce à des fentes dans la toiture. Même avec ses lumières, l'endroit lui paraissait sombre, trop sombre. Après un petit temps d'adaptation il pouvait en voir la raison : les murs. En effet, les murs étaient noirs de brûlures. Il pouvait sentir dans l'air une odeur de charbon alors que sous ses pieds, c'était un bois qui s'effritait légèrement qu'il pouvait sentir. Devant lui se dressait un couloir avec le reste de seulement deux portes sur les murs. L'agent du Coeur marcha prudemment dans le couloir, en faisant bien attention où il marchait, puis ouvrit l'une des deux portes, celle sur sa gauche. Celle-ci tenait à peine sur ses gonds.

Lorsqu’il rentra dans la pièce, la présence d'une fenêtre lui donna plus de visibilité. Il pouvait voir des tas carbonisés. Toute la pièce en était remplie. Ces derniers ressemblaient à des planches qui avaient brûlé mais d’autres choses se trouvaient également à l'intérieur : c'étaient des morceaux de verre ainsi que du métal, de petites bandes de métal. Le blond ramassa une bande de métal, qu'il mit dans sa poche. Cette dernière lui encrassa la main. Ensuite il regarda de plus près les morceaux de verre pour voir s'il n'y avait pas une inscription dessus, mais cela ne fut pas le cas. Une fois avoir inspecté la pièce, il prit une planche carbonisée, qui lui paraissait encore plus fragile que la porte, avant de retourner dans le couloir.

Une fois de nouveau dans le couloir, il pouvait entendre que cela s'agitait encore plus à l'étage du dessous. Varjo continua son inspection de l'étage. Il poussa la porte de droite. Cette porte était tout aussi en mauvais état que l'autre. Une fois à l'intérieur, ce n'était pas une fenêtre mais deux qui lui donnaient de la vision. Et ce qu'il voyait était dans un pire état que l'autre pièce. En effet, celle-ci était complètement noire de brûlures alors que même l'autre avait par endroits quelques traces de peinture. Les tas qui étaient reconnaissables dans la salle d'avant n’étaient maintenant plus que des simples tas de cendre éparpillés dans toute la pièce. Voyant qu'il n'avait plus rien à découvrir, Varjo quitta la pièce calcinée et revint dans le couloir puis descendit les marches pour retourner au premier étage. Au moment d'arriver sur la fin de l'escalier, le Doigt pouvait entendre des gens crier sur d'autres. Il pouvait en discerner les mots et reconnut la voix de la vielle dame.

-Cherchez-le, il doit faire partie des autres !

En entendant les cris, Varjo prit un des débris qu'il avait ramassés et le jeta vers la porte du couloir la plus proche de lui pour tenter de distraire ses poursuivants, puis observa la scène en restant caché. Ses yeux pouvaient voir que son action ne déclencha rien dans l'immédiat. Mais après plusieurs instants, l'agent du coeur pouvait entendre des personnes monter, ce qui fut confirmé par ses yeux. Ces derniers pouvaient voir la dame qu'il avait saucissonné ainsi que celle vêtue de rose et celle qui avait accompagné la montagne de muscles. Le blondinet défit le nœud du drap qu'il s'était attaché autour du cou et le porta avec ses deux mains. Il enjamba ensuite les planches bloquant l'escalier et jeta la couverture droit sur les femmes pour les aveugler. Au moment où le drap tomba, seule la femme rosée le remarqua mais fut quand-même piégée en-dessous. Les femmes lâchèrent un cri d'étonnement, sauf celle qui l'avait vu avant et qui commençait déjà à tenter de sortir du tissu. Pendant que les femmes étaient occupées à se débattre avec le drap, le blondinet courut vers les marches d'escalier pour redescendre au rez-de-chaussée.

Varjo dévala les marches de l'escalier dans son habit de héros masqué. En descendant il vit le garçon ainsi que la femme qui avaient accompagné le xélor plus tôt dans la soirée. Ils tournèrent la tête vers le blond masqué, surpris de voir quelqu'un débouler comme ceci. En apercevant les deux individus, l'agent du Cœur leur cria.

-Une des filles a fait un malaise, je vais appeler les secours ! Montez la réconforter !

Une fois sa phrase achevée, sachant qu'il avait rassemblé un certain nombre d'informations et qu'il lui serait désormais difficile d'en obtenir davantage sans s'attirer d'autres ennuis, Varjo se dit qu'il était temps de partir et quitta ainsi la taverne pour informer la Main de ses découvertes. Les deux personnes se ruèrent alors vers l'étage. La sacrieur lâcha un regard vers le masqué en disant de se dépêcher. Alors que ces derniers montaient, Varjo partit du bar en cachant son masque dans sa tunique. Tout ceci en ayant accompli sa mission.

Une fois rentré, l'agent du cœur écrit son rapport qu'il envoya à la Main.

rapport:

Retranscription du rapport:
Pinnoze
Pinnoze
5♠
5♠
Furtivité I
A pas de velours. Le premier niveau de furtivité permet de se mouvoir sans bruit, d’avoir déjà quelques facilités à surprendre quelqu'un par derrière, et de limiter toute déconvenue sonore susceptible de compromettre une infiltration.
Piégeur
Le membre détecte, désamorce et conçoit pièges et autres chausse-trappes avec les moyens du bord.
Artificier
L'artificier maîtrise les dangereux secrets de la poudre noire et de sa fabrication... Un métier détonant.
Négociateur I
Le négociateur débutant arpente doucement la voie des mots et de l'entourloupe. Il sera à même de marchander avec le douzien moyen qui a pour habitude de se faire plumer sur les brocantes ou dans les foires.
Millésime 651
Où la Main fait peau neuve.
Millésime 650
Où la Main s'engage dans un bras de fer.
Millésime 649
Où la Main se pique de noblesse.
Mister Main 650
C'est le plus beau jour de sa vie !

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Date d'inscription : 23/09/2019

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