Candidature d’Ambre de Shaelara aussi connue sous le nom D’Arnie-Cah

Une enveloppe de papier sombre est disposée derrière le comptoir du lépreux. Sur celle si réside en lettres soignées : à l’intention de la main. Elle dispose d’un sceau de cire rouge où trônent les initiales AS.
Dans celle-ci, une fois ouverte, vous pouvez y trouver une lettre ainsi qu’une série de feuilles proprement organisées que l’on devine être une partie d’un journal personnel.
Quoi que cette enveloppe fasse là, elle était disposée de façon à ce qu’on la trouve.


•••

Cher journal, en ce 5 Maisal 649 j’avoue être ébranlée par des doutes qui me traversent l’esprit. Je suis perdue... comme accablée de mille questions.
J’hésite à laisser une trace de mon histoire, quelque pars, de laisser cette trace écrite avec ma plume pourtant si indécise, cependant; les mots s’impriment sur ce papier sans me laisser le droit de renoncer. Je n’ai donc pas d’autre choix que d’entamer cette biographie, pipe aux lèvres.
Si ces notes finissent entre les mains de quelqu’un c’est que j’estime que ces lignes valent la peine d’être lues.

Je suis née Ambre de Shaelara, dans le village du pichon frétillant à Pandala, d’après les dires de ma mère elle me portait en elle avant de partir pour l’ile, cependant ni elle ni moi ne connaissions l’identité de mon géniteur, à moins qu’elle me l’ait cachée jusqu’à sa mort; rien n’est sûr.

J’ai eu une enfance plutôt décente malgré l’absence d’une figure paternelle, et l’alcoolisme de ma mère. Mon père quant à lui, fût remplacé par l’odeur de renfermé des livres et par les sonorités de mon luth.
J’ai donc grandi normalement dans ce village jusqu’à mes quatorze ans en étudiant des livres d’auteurs divers, la musique et l’art de la séduction par le biais de ma mère. Rien de vraiment spécial, vous me direz et vous avez raison, il s’agissait d’une enfance paisible tout ce qui est de plus normal, s’il on oublie ma formation de séductrice et les nombreuses fois où j’ai enjambée ma maternelle sur le sol. Quand j’y repense, écrire ces mots m’amuse, ils me rappellent une époque ou j’étais encore naïve et libre comme l’air. Or, vous êtes là pour lire l’histoire d’une vie alors ne nous attardons pas sur mes pensées saugrenues.

Son alcoolisme à malheureusement eu raison d’elle, et son foie, atteint de cirrhose l’affaiblissait à vue d’œil. Malgré mon jeune âge j’ai donc du trouver un moyen de ramener assez d’argent pour nous nourrir et garder notre maison. Les travails qui rapportaient suffisamment concernaient majoritairement les bambouseraies mais je n’étais pas assez forte pour cela et je devais trouver des kamas, et vite. J’ai donc choisi ce qui rapportais le plus : vendre des herbes aux vertus apaisantes. Même si ce travail était illégal et dangereux, il rapportait suffisamment pour nous maintenir en vie. J’étais donc dealeuse de clochettes et de tabac de bambou, de ma pré adolescence à mes seize ans. Cela m’as attiré pas mal de problèmes expliquant quelques cicatrices que je garde aujourd’hui et un dégoût ainsi qu’un manque de confiance envers les hommes.
Un incident as cependant comme mis un terme définitif à cette vie de débrouille . Profitant de l’exil de Zatoïshwan, péki péki et les kitsous menèrent un raid sur le village alors dénudé de toute protection. Le héros déchu revint nous défendre, or dans un excès de rage destructrice il détruisit tout sur son passage: ennemi, allié et même bâtiments.

N’ayant plus d’endroit ou vivre et ayant tout perdu, j’ai essayé de trouver refuge en feudala en demandant asile chez les lenalds. Ils acceptèrent de me nourrir et de m’héberger en échange de ma vie et de ma dévotion au maître Ronald, qui jugeait bon d’ajouter une geïsha exotique à sa collection personnelle. Je devais donc devenir une femme dont le but est de soulager l’esprit, contrairement aux prostituées qui servent à soulager le corps. Me jugeant trop jeune et inexpérimentée du haut de mes seize ans, j’ai du suivre une formation guidée par les vielles lenalds dans les respects de la tradition. Durant cette formation j’ai appris de nombreuses choses dont l’art de la discussion et la pratique de la musique arcanique; un art oublié qui permet d’envoûter les personnes qui l’écoute. Ainsi que diverses coutumes traditionnelles telles que l’art du thé ou encore la calligraphie. A l’heure ou je parle je garde encore ma peau tatouée en signe d’appartenance, mon dos est marqué d’un cercle de caractère présentant en son centre le symbole de Ronald.
Après quatre années de formation, j’étais devenue une femme compétente de sa collection. Les pandaliens ayant eu vent des talents de la cour du maître, nous demandaient souvent des services avec pour but de charmer des contacts politiques ou marchands affin de leur soutirer ce qu’ils voulaient. J’ai donc beaucoup été affecté sur des missions de contrebande de bambou sacré, ma présence servant à charmer les éventuels obstacles, les passeurs n’hésitent pas à faire appel à mes services. Du moment que mon maître et moi-même recevions une quantité intéressante de kamas, je n’accordais pas vraiment d’importance à la justesse de la tâche à accomplir.
Une fois l’édit de Vhel de 643 passé, le commerce de bambou sacré a été monopolisé par des riches commerçants venant des grandes cités. Et j’ai donc passé les 6 dernières années à accomplir des recherches tout en restant à mi temps à la cour.

À l’heure où j’écris ses lignes je suis à Astrub, cité des aventuriers et des marchands. Cela fait bientôt plus de deux mois que je suis ici dans le but d’avancer sur mes recherches. Je pense tenir quelque chose, j’y suis presque...


•••



Ici sont les seules traces écrites de mon passé. Tout est flou à présent, je n’ai que des bribes de souvenirs et ma mémoire revient peu à peu, mais tout ce qui concerne la musique arcanique à définitivement disparu. J’ai cependant réussi à retrouver Xerona, une personne qui m’étais extrêmement chère avant que je n’oublie tout, nos retrouvailles quelques peu étranges m’ont permis de clarifier la situation. Pour résumer de façon simple et concise, ayant pour quête de récupérer ma liberté auprès du maître Ronald, j’aurais donc renoncé à mes souvenirs.
Je m’excuse donc aux habitués du lépreux, bien que les moments que j’ai passé dans cette taverne aient été incroyables d’après ses dires, je dois reconnaître ne plus avoir le moindre souvenir concernant les membres de celle-ci.

Trêve de palabres, si je dépose cette enveloppe ici c’est dans le but de rejoindre la main.
J’en ai eu vent d’elle dans quelques correspondances trouvées chez mon amie et mes recherches on confirmée mon intuition première. Durant ce dernier mois j’ai observé de loin les agitations autour de la taverne et j’ai remarqué quelques détails étranges, pourquoi un fleuriste aurait-il besoin d’autant de livraisons de belladones? Après quelques temps de réflexion j’ai enfin fait le lien et suis arrivé à une conclusion. Le lépreux et la boutique de fleurs ne sont qu’en fait sous votre contrôle, comme bien des choses au sein de cette petite ville d’Astrub. Le fleuriste est une couverture plutôt judicieuse afin de créer des poisons, il s’agit d’une bonne justification à donner à la milice pour un import de fleurs aussi important. Pour être franche, je trouve cette caste magnifiquement bien organisée, à vrai dire elle me passionne, fourbe, insaisissable, implanté partout comme le mauvais au sein des hommes.

Ma mémoire à beau ne plus être intacte, les recherches que je menaient et mon carnet sont toujours d’une clarté limpide. Celles-ci arrivent bientôt à un therme. Je suis sur le point de créer une nouvelle formule de l’opium, et ce, à base de bulbiflore. Il s’agirait d’un opium nouveau, plus puissant, simple à produire et peu coûteux. À la base, ces recherches étaient dans le but d’assoir la domination du maître sur les cartels pandaliens, mais comme je ne suis plus à son service autant en faire profiter quelqu’un d’autre.

Il est vrai que j’en sais suffisamment pour être la proie des chasseurs du carreaux et des assassins du pique, et je trouve cette situation si délicate fortement délicieuse, mais considérez la chose, m’avoir en vos rangs ne serait-ce pas plus intéressant que de m’avoir morte?
Si je me bats ainsi c’est car j’ai un objectif. Avec la main contrôlant les cartels je sais que les enfants ne seront plus obligés de dealer dans la rue et de subir des violences aussi bien physiques que mentales que j’ai pu connaître. Et cela est ma principale motivation.

J’ai de grandes ambitions, et vous ?



Ambre de Shaelara connue sous le nom d’Arnie-Cah.


••••


Bonsoir, j’espère que cette petite lecture vous a plue.
Afin de dresser une description plus complète, Ambre est une femme éniripsa de 27 ans, d’1m75 pour 61kg (elle est donc plutôt svelte). Il s’agit d’une personne belle et élégante qui accorde de l’importance à son apparence physique. Sur l'entièreté de son bras gauche figurent des tatouages de multiples fleurs de lycoris rouges, fleurs qui selon la légende poussent là ou les choses se séparent à jamais (elle se l’es fait faire sachant qu’elle perdrait la mémoire).
Elle maîtrise la magie de feu et dispose d’un intel développé ainsi que des connaissance en herboristerie et en chimie. Cependant, elle n’est pas une combattante, étant dotée d’une faible constitution et d’un cœur fragilisé (suite au massacre du pichon), elle possède donc une force très peu développée et une vulnérabilité aux attaques physiques. De plus, elle sujette à une altération de sa mémoire (comme vous avez déjà pu le constater).
Ayant vécue seule en pandala, elle n’a jamais vraiment connu le culte de sa déesse et donc, elle ne maîtrise pas de sorts de soins, elle peut cependant par le biais de sa connaissance en herboristerie fabriquer des onguents et des cataplasmes.
Il s’agit aussi d’une fumeuse plutôt régulière de tabac de bambou, qu’elle consomme dans une pipe à opium en bambou sacré gravée, assez typique des gueïshas de la cour de Ronald.
Afin de clôturer ce descriptif, il serait important de préciser qu’elle est fiancée à Xerona (ce qui explique qu’elle ai pu trouver des écrit de la main chez elle).



••••


Partie HRP :

J’ai découvert le RP sur Dofus par le biais de Xerona (oui encore une fois haha) lors d’une quête improvisée où il s’agissait de poursuivre un étrange écureuil dans la forêt d’Astrub. Après cette aventure, elle m’as introduite au lépreux et j’ai tout de suite accroché à cette communauté des plus sympathique. J’effectuais déjà du RP car je suis amateur de jeux de rôles (D&D notamment et zombicide où nous jouions en immersion), mais j’avoue qu’avant cette rencontre inattendue, je ne pensais pas que le serveur Agride possèderait une communauté RP aussi bien organisée. C’est vraiment une activité que j’apprécie et j’avoue me complaire dans le fait de jouer le rôle d’un personnage de ma propre création.

En espérant que cette candidature puisse répondre à vos critères.
Cordialement

Bonjour et bienvenue sur le forum de la Main !

Merci beaucoup pour ces retours constructifs.
Je pense qu’en effet inclure Ronald était maladroit, je vais donc suivre vos conseils et changer ce point en faisant du maitre un lenald puissant de feudala.
Je tiens à informer que je communique bien avec le joueur de Xerona qui m’aide dans l’élaboration de mon personnage. Cependant après relecture je comprends que ma connaissance du pique n’a pas lieux d’être vu qu’il s’agit d’une branche agissant dans la plus grande discrétion.
Xerona m’aurait donc bien parlé de la peur du carreau qu’elle entretenait du à son statut de déserteur. Ce qui pourrait justifier une connaissance de cette partie de l’organisation.
Pour ce qui est de la connaissance des enseignes appartenant à la main, mon personnage aurait déduit pour la boutique de fleur par le biais des belladones et aurait établi le lien avec le lépreux centre d’agitation important se situant juste à côté.

Une enveloppe de papier sombre est disposée derrière le comptoir du lépreux. Sur celle si réside en lettres soignées : à l’intention de la main. Elle dispose d’un sceau de cire rouge où trônent les initiales AS.
Dans celle-ci, une fois ouverte, vous pouvez y trouver une lettre ainsi qu’une série de feuilles proprement organisées que l’on devine être une partie d’un journal personnel.
Quoi que cette enveloppe fasse là, elle était disposée de façon à ce qu’on la trouve.


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Cher journal, en ce 5 Maisal 649 j’avoue être ébranlée par des doutes qui me traversent l’esprit. Je suis perdue... comme accablée de mille questions.
J’hésite à laisser une trace de mon histoire, quelque pars, une trace écrite avec ma plume pourtant si indécise, cependant; les mots s’impriment sur ce papier sans me laisser le droit de renoncer. Je n’ai donc pas d’autre choix que d’entamer cette biographie, pipe aux lèvres.
Si ces notes finissent entre les mains de quelqu’un c’est que j’estime que ces lignes valent la peine d’être lues.

Je suis née Ambre de Shaelara, dans le village du pichon frétillant à Pandala, d’après les dires de ma mère elle me portait en elle avant de partir pour l’ile, cependant ni elle ni moi ne connaissions l’identité de mon géniteur, à moins qu’elle ne me l’ait cachée jusqu’à sa mort; rien n’est sûr.

J’ai eu une enfance plutôt décente malgré l’absence d’une figure paternelle, et l’alcoolisme de ma mère. Mon père quant à lui, fût remplacé par l’odeur de renfermé des livres et par les sonorités de mon luth.
J’ai donc grandi normalement dans ce village jusqu’à mes quatorze ans en étudiant des livres d’auteurs divers, la musique et l’art de la séduction par le biais de ma mère. Rien de vraiment spécial, vous me direz et vous avez raison, il s’agissait d’une enfance paisible tout ce qui est de plus normal, s’il on oublie ma formation et les nombreuses fois où j’ai enjambée ma maternelle sur le sol. Quand j’y repense, écrire ces mots m’amuse, ils me rappellent une époque ou j’étais encore naïve et libre comme l’air. Or, vous êtes là pour lire l’histoire d’une vie alors ne nous attardons pas sur mes pensées saugrenues.

Son alcoolisme à malheureusement eu raison d’elle, et son foie, atteint de cirrhose l’affaiblissait à vue d’œil. Malgré mon jeune âge j’ai du trouver un moyen de ramener assez d’argent pour nous nourrir et garder notre maison. Les travails qui rapportaient suffisamment concernaient majoritairement les bambouseraies mais je n’étais pas assez forte pour cela, je devais trouver des kamas, et vite. J’ai donc choisi ce qui rapportais le plus : vendre des herbes aux vertues apaisantes. Même si ce travail était illégal et dangereux, il rapportait suffisamment pour nous maintenir en vie. J’ai donc étédealeuse de clochettes et de tabac de bambou, de ma pré adolescence à mes seize ans. Cela m’as attiré pas mal de problèmes expliquant quelques cicatrices que je garde aujourd’hui et un dégoût mêlé à un manque de confiance envers les hommes.
Un incident a cependant comme mis un terme définitif à cette vie de débrouille . Profitant de l’exil de Zatoïshwan, péki péki et les kitsous menèrent un raid sur le village alors dénudé de toute protection. Le héros déchu revint nous défendre, or dans un excès de rage destructrice il réduisit tout en cendres sur son passage: ennemi, allié et même bâtiments.

N’ayant plus d’endroit où vivre et ayant tout perdu, j’ai essayé de trouver refuge en feudala, demandant asile chez les lenalds. Ils acceptèrent de me nourrir et de m’héberger en échange de ma vie et de ma dévotion au maître Colleone, un puissant parrain qui jugeait bon d’ajouter une geïsha exotique à sa collection personnelle. Je devais donc devenir une femme dont le but est de soulager l’esprit, contrairement aux prostituées qui servent à soulager le corps. Me jugeant trop jeune et inexpérimentée du haut de mes seize ans, j’ai du suivre une formation guidée par les vielles lenalds dans les respects de la tradition. Durant cette formation j’ai appris de nombreuses choses dont l’art de la discussion et la pratique de la musique arcanique; un art oublié qui permet d’envoûter les personnes qui l’écoute. Ainsi que diverses coutumes traditionnelles telles que l’art du thé ou encore la calligraphie. A l’heure où je parle, je garde encore ma peau tatouée en signe d’appartenance, mon dos est marqué d’un cercle de caractère présentant en son centre le symbole de Colleone.
Après quatre années de formation, j’étais devenue une femme compétente de sa collection. Les pandaliens ayant eu vent des talents de la cour du maître, nous demandaient souvent des services avec pour but de charmer des contacts politiques ou marchands affin de leur soutirer de l’argent ou forcer des accords. J’ai donc beaucoup été affecté sur des missions de contrebande de bambou sacré, ma présence servant à charmer les éventuels obstacles, les passeurs n’hésitent pas à faire appel à mes services. Du moment que mon maître et moi-même recevions une quantité intéressante de kamas, je n’accordais pas vraiment d’importance à la justesse de la tâche à accomplir.
Une fois l’édit de Vhel de 643 passé, le commerce de bambou sacré a été monopolisé par des riches commerçants venant des grandes cités. Et j’ai donc passé les 6 dernières années à accomplir des recherches tout en restant à mi temps à la cour.

À l’heure où j’écris ses lignes je suis à Astrub, cité des aventuriers et des marchands. Cela fait bientôt plus de deux mois que je suis ici dans le but d’avancer sur mes recherches. Je pense tenir quelque chose, j’y suis presque...


•••



Ici sont les seules traces écrites de mon passé. Tout est flou à présent, je n’ai que des bribes de souvenirs et ma mémoire revient peu à peu, mais tout ce qui concerne la musique arcanique à définitivement disparu. J’ai cependant réussi à retrouver Xerona, une personne qui m’étais extrêmement chère avant que je n’oublie tout, nos retrouvailles quelques peu étranges m’ont permis de clarifier la situation. Pour résumer de façon simple et concise, ayant pour quête de récupérer ma liberté auprès du maître Colleone, j’aurais donc renoncé à mes souvenirs.
Je m’excuse donc aux habitués du lépreux, bien que les moments que j’ai passé dans cette taverne aient été incroyables d’après ses dires, je dois reconnaître ne plus avoir le moindre souvenir concernant les membres de celle-ci.

Trêve de palabres, si je dépose cette enveloppe ici c’est dans le but de rejoindre la main.
J’en ai eu vent d’elle dans quelques correspondances trouvées chez mon amie, mais je ne savais pas où elle était implantée en Astrub. Je me suis donc mise en quête d’un des repères de la main, et durant ce dernier mois j’ai observé de loin les agitations autour de la taverne et j’ai remarqué quelques détails étranges, pourquoi un fleuriste aurait-il besoin d’autant de livraisons de belladones? Après quelques temps de réflexion j’ai enfin fait le lien et suis arrivé à une conclusion. La boutique de fleurs est en fait sous votre contrôle, après avoir considéré cette donnée,il m’as fallu peu de temps avant d’établir un lien logique avec le lépreux chauve.
Le fleuriste est une couverture plutôt judicieuse afin de créer des poisons, il s’agit d’une bonne justification à donner à la milice pour un import de fleurs aussi important. Pour être franche, je trouve cette caste magnifiquement bien organisée, à vrai dire elle me passionne, fourbe, insaisissable, implanté partout comme le mauvais au sein des hommes.

Ma mémoire à beau ne plus être intacte, les recherches que je menaient sont toujours d’une clarté limpide. Celles-ci arrivent bientôt à un terme. Je suis sur le point de créer une nouvelle formule de l’opium, et ce, à base de bulbiflore. Il s’agirait d’un opium nouveau, plus puissant, simple à produire et peu coûteux. À la base, ces recherches étaient dans le but d’assoir la domination du maître sur les cartels pandaliens, mais comme je ne suis plus à son service autant en faire profiter quelqu’un d’autre.

Il est vrai que j’en sais suffisamment, voir trop, pour être la proie idéale des chasseurs du carreaux et je trouve cette situation si délicate fortement délicieuse, mais considérez la chose, m’avoir en vos rangs ne serait-ce pas plus intéressant que de m’avoir morte?
Si je me bats ainsi c’est car j’ai un objectif. Avec la main contrôlant les cartels je sais que les enfants ne seront plus obligés de dealer dans la rue et de subir des violences aussi bien physiques que mentales que j’ai pu connaître. Et cela est ma principale motivation.

J’ai de grandes ambitions, et vous ?



Ambre de Shaelara connue sous le nom d’Arnie-Cah.


••••


Bonsoir, j’espère que cette petite lecture vous a plue.
Afin de dresser une description plus complète, Ambre est une femme éniripsa de 27 ans, d’1m75 pour 61kg (elle est donc plutôt svelte). Il s’agit d’une personne belle et élégante qui accorde de l’importance à son apparence physique. Sur l'entièreté de son bras gauche figurent des tatouages de multiples fleurs de lycoris rouges, fleurs qui selon la légende poussent là où les choses se séparent à jamais (elle les as faites faire sachant qu’elle perdrait la mémoire).
Elle maîtrise la magie de feu et dispose d’un intel développé ainsi que des connaissance en herboristerie et en chimie. Cependant, elle n’est pas une combattante, étant dotée d’une faible constitution et d’un cœur fragilisé (suite au massacre du pichon), elle possède donc une force très peu développée et une vulnérabilité aux attaques physiques. De plus, elle est sujette à une altération de sa mémoire (comme vous avez déjà pu le constater).
Ayant vécue seule en pandala, elle n’a jamais vraiment connu le culte de sa déesse et donc, elle ne maîtrise pas de sorts de soins, elle peut cependant par le biais de sa connaissance en herboristerie fabriquer des onguents et des cataplasmes.
Il s’agit aussi d’une fumeuse plutôt régulière de tabac de bambou, qu’elle consomme dans une pipe à opium en bambou sacré gravée, assez typique de la famille Colleone.
Afin de clôturer ce descriptif, il serait important de préciser qu’elle est fiancée à Xerona (ce qui explique qu’elle ai pu trouver un écrit de la main chez elle).



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Partie HRP :

J’ai découvert le RP sur Dofus par le biais de Xerona (oui encore une fois haha) lors d’une quête improvisée où il s’agissait de poursuivre un étrange écureuil dans la forêt d’Astrub. Après cette aventure, elle m’as introduite au lépreux et j’ai tout de suite accroché à cette communauté des plus sympathique. J’effectuais déjà du RP car je suis amateur de jeux de rôles (D&D notamment et zombicide où nous jouions en immersion), mais j’avoue qu’avant cette rencontre inattendue, je ne pensais pas que le serveur Agride possèderait une communauté RP aussi bien organisée. C’est vraiment une activité que j’apprécie et j’avoue me complaire dans le fait de jouer le rôle d’un personnage de ma propre création.

En espérant que cette candidature puisse répondre à vos critères.
Cordialement

Voici le second jet, j’espère avoir corrigé les coquilles glissées au sein de la première version. N’hésitez pas à me donner vos retours, je les attends avec impatience !

Coucou !

Non seulement tu viens de laisser des documents incriminant la Main du Valet Noir à portée de n'importe qui, mais en plus tu annonces formellement que Xerona a, une fois de plus, compromis notre sécurité ?

Avoue, tu souhaitais te débarrasser d'elle et n'osais pas te charger toi-même du sale boulot...

Les informations ont été changées dans les jets suivants

Cela faisait un moment qu'Olgah n'était pas allé au Lepreux Chauve et elle fut étonnée de n'y trouver personne. Mais alors qu'elle s'approchait du comptoir pour se désaltérer, elle tomba sur une enveloppe. Elle avait un sceau cassé qui attira son attention. Quelqu'un devait être tombé dessus avant elle. Il y avait d'ailleurs un petit texte qui avait été barré, pour l'effacer surement mais la violoniste pouvait, en se concentrant la violoniste déchiffra : «  l'i    t     e  la     ». Elle prit le temps lire deux fois la lettre en faisant des petits commentaires à voix haute avant de la reposer dans son enveloppe. Elle sortit ensuite un morceau parchemin et elle commanda une plume de corbac et de l'encre de kralamoure à Camille.


Elle glissa son parchemin, dans l'enveloppe avant de la reposer là où elle l'avait trouvé.



Bienvenue sur le forum !
C'est une longue candidature assez complète. La nouvelle version me parait presque bonne.
En fait, comme les autres, je trouve qu'Arnie a de trop grandes connaissances de la main. Cela fait un moment que Xerona ne fait plus partie de la main et même si elle collabore toujours avec, je pense qu'Arnie ne peut pas avoir accès à toutes les informations que tu as. Et chez nous on évite de donner trop d'informations par lettre ( c'est dangereux ). Peut être qu'elle a pu lire des choses qui lui prouve l'existence de la main, où l'implication du magasin de fleurs, mais je ne pense pas qu'elle puisse connaitre nos enseignes et de leurs spécialités, et même après une enquête, je pense que c'est compliqué de savoir tout cela.
Même si je donne mon pour en Rp je vais attendre encore un peu avant de le donner en hrp.
Je sais que tu prendras le temps d'arranger cela.

Un grand merci à toi Olgah pour ton accord et tes retours !
Il est vrai que j’en sais peut-être trop je vais donc essayer de réduire mes connaissances de façon à ce que malgré mes recherches, les conclusions tirées soient cohérentes à mon niveau d’information concernant la main. Je vais donc essayer de régler tout ça dans le 3ème jet. Je pense qu’il s’agit de l’un des seuls points à vraiment améliorer.
Le 3ème jet devrait arriver demain, merci à tous pour votre patience et vos conseils.

Troisième jet:


Une enveloppe de papier sombre est disposée derrière le comptoir du lépreux. Sur celle si réside en lettres soignées : à l’intention de la main. Elle dispose d’un sceau de cire rouge où trônent les initiales AS.
Dans celle-ci, une fois ouverte, vous pouvez y trouver une lettre ainsi qu’une série de feuilles proprement organisées que l’on devine être une partie d’un journal personnel.
Quoi que cette enveloppe fasse là, elle était disposée de façon à ce qu’on la trouve.


•••

Cher journal, en ce 5 Maisal 649 j’avoue être ébranlée par des doutes qui me traversent l’esprit. Je suis perdue... comme accablée de mille questions.
J’hésite à laisser une trace de mon histoire, quelque pars, une trace écrite avec ma plume pourtant si indécise, cependant; les mots s’impriment sur ce papier sans me laisser le droit de renoncer. Je n’ai donc pas d’autre choix que d’entamer cette biographie, pipe aux lèvres.
Si ces notes finissent entre les mains de quelqu’un c’est que j’estime que ces lignes valent la peine d’être lues.

Je suis née Ambre de Shaelara, dans le village du pichon frétillant à Pandala, d’après les dires de ma mère elle me portait en elle avant de partir pour l’ile, cependant ni elle ni moi ne connaissions l’identité de mon géniteur, à moins qu’elle ne me l’ait cachée jusqu’à sa mort; rien n’est sûr.

J’ai eu une enfance plutôt décente malgré l’absence d’une figure paternelle, et l’alcoolisme de ma mère. Mon père quant à lui, fût remplacé par l’odeur de renfermé des livres et par les sonorités de mon luth.
J’ai donc grandi normalement dans ce village jusqu’à mes quatorze ans en étudiant des livres d’auteurs divers, la musique et l’art de la séduction par le biais de ma mère. Rien de vraiment spécial, vous me direz et vous avez raison, il s’agissait d’une enfance paisible tout ce qui est de plus normal, s’il on oublie ma formation et les nombreuses fois où j’ai enjambée ma maternelle sur le sol. Quand j’y repense, écrire ces mots m’amuse, ils me rappellent une époque ou j’étais encore naïve et libre comme l’air. Or, vous êtes là pour lire l’histoire d’une vie alors ne nous attardons pas sur mes pensées saugrenues.

Son alcoolisme à malheureusement eu raison d’elle, et son foie, atteint de cirrhose l’affaiblissait à vue d’œil. Malgré mon jeune âge j’ai du trouver un moyen de ramener assez d’argent pour nous nourrir et garder notre maison. Les travails qui rapportaient suffisamment concernaient majoritairement les bambouseraies mais je n’étais pas assez forte pour cela, je devais trouver des kamas, et vite. J’ai donc choisi ce qui rapportais le plus : vendre des herbes aux vertues apaisantes. Même si ce travail était illégal et dangereux, il rapportait suffisamment pour nous maintenir en vie. J’ai donc étédealeuse de clochettes et de tabac de bambou, de ma pré adolescence à mes seize ans. Cela m’as attiré pas mal de problèmes expliquant quelques cicatrices que je garde aujourd’hui et un dégoût mêlé à un manque de confiance envers les hommes.
Un incident a cependant comme mis un terme définitif à cette vie de débrouille . Profitant de l’exil de Zatoïshwan, péki péki et les kitsous menèrent un raid sur le village alors dénudé de toute protection. Le héros déchu revint nous défendre, or dans un excès de rage destructrice il réduisit tout en cendres sur son passage: ennemi, allié et même bâtiments.

N’ayant plus d’endroit où vivre et ayant tout perdu, j’ai essayé de trouver refuge en feudala, demandant asile chez les lenalds. Ils acceptèrent de me nourrir et de m’héberger en échange de ma vie et de ma dévotion au maître Colleone, un puissant parrain qui jugeait bon d’ajouter une geïsha exotique à sa collection personnelle. Je devais donc devenir une femme dont le but est de soulager l’esprit, contrairement aux prostituées qui servent à soulager le corps. Me jugeant trop jeune et inexpérimentée du haut de mes seize ans, j’ai du suivre une formation guidée par les vielles lenalds dans les respects de la tradition. Durant cette formation j’ai appris de nombreuses choses dont l’art de la discussion et la pratique de la musique arcanique; un art oublié qui permet d’envoûter les personnes qui l’écoute. Ainsi que diverses coutumes traditionnelles telles que l’art du thé ou encore la calligraphie. A l’heure où je parle, je garde encore ma peau tatouée en signe d’appartenance, mon dos est marqué d’un cercle de caractère présentant en son centre le symbole de Colleone.
Après quatre années de formation, j’étais devenue une femme compétente de sa collection. Les pandaliens ayant eu vent des talents de la cour du maître, nous demandaient souvent des services avec pour but de charmer des contacts politiques ou marchands affin de leur soutirer de l’argent ou forcer des accords. J’ai donc beaucoup été affecté sur des missions de contrebande de bambou sacré, ma présence servant à charmer les éventuels obstacles, les passeurs n’hésitent pas à faire appel à mes services. Du moment que mon maître et moi-même recevions une quantité intéressante de kamas, je n’accordais pas vraiment d’importance à la justesse de la tâche à accomplir.
Une fois l’édit de Vhel de 643 passé, le commerce de bambou sacré a été monopolisé par des riches commerçants venant des grandes cités. Et j’ai donc passé les 6 dernières années à accomplir des recherches tout en restant à mi temps à la cour.

À l’heure où j’écris ses lignes je suis à Astrub, cité des aventuriers et des marchands. Cela fait bientôt plus de deux mois que je suis ici dans le but d’avancer sur mes recherches. Je pense tenir quelque chose, j’y suis presque...


•••



Ici sont les seules traces écrites de mon passé. Tout est flou à présent, je n’ai que des bribes de souvenirs et ma mémoire revient peu à peu, mais tout ce qui concerne la musique arcanique à définitivement disparu. J’ai cependant réussi à retrouver Xerona, une personne qui m’étais extrêmement chère avant que je n’oublie tout, nos retrouvailles quelques peu étranges m’ont permis de clarifier la situation. Pour résumer de façon simple et concise, ayant pour quête de récupérer ma liberté auprès du maître Colleone, j’aurais donc renoncé à mes souvenirs.
Je m’excuse donc aux habitués du lépreux, bien que les moments que j’ai passé dans cette taverne aient été incroyables d’après ses dires, je dois reconnaître ne plus avoir le moindre souvenir les concernant.

Trêve de palabres, si je dépose cette enveloppe ici c’est dans le but de rejoindre la main.

J’en ai eu vent de son existence lors d’une conversation avec une amie contrebandière, ses dires furent confirmés par ma fiancée. Je savais donc uniquement qu’il s’agissait d’une organisation criminelle secrète implantée à Astrub, mais je manquais cruellement d’informations. Si je voulais la rejoindre il fallait que je trouve l’une de ses enseignes, il fallait en apprendre plus...
Je me suis donc mise en quête d’un des repères de la main, et durant ce dernier mois j’ai observé de loin les agitations autour des grandes routes commerciales d’Astrub. J’ai commencé par la porte sud et ses environs, pensant à la possibilité qu’une route avec Brakmar ai été établie; mais après une semaine et demi d’observation, je n’ai rien pu observer de concluant. J’ai donc continué mon enquête en me positionnant au niveau de la porte nord. Après quelques semaines, j’ai remarqué que des livraisons alimentaient régulièrement la boutique de fleurs, jusque-là rien de bien extraordinaire; cependant la plupart de ces livraisons s’effectuaient tôt le matin à des intervalles quelques peu aléatoires et spécifiquement en dehors des horaires de transports habituels. Cela a donc interpelé ma curiosité, je devais m’assurer du contenu de ces charrettes.
Par le biais d’une tierce personne j’ai pu savoir qu’elle contenaient des fleurs dont un importante quantité de belladones. Or en me rendant dans la boutique j’ai remarqué que seulement quelques fleurs résidaient dans des compositions.
C’est à partir de ce moment que beaucoup de questions ont tournées dans mon esprit. Pourquoi un fleuriste aurait-il besoin d’autant de belladones? Après quelques instants de réflexion j’ai enfin réussi à établir un lien. Si les belladones sont utilisés en de telles quantités, c’est afin d’en extraire l’atropine, une puissante neurotoxine végétale pouvant être utilisée dans de nombreux poisons. Je reconnais qu’il s’agit d’une utilisation plutôt intéressante de la morelle perverse, peu d’herboristes savent comment extraire cette toxine en quantités rentables.
A partir de cela la conclusion était toute tirée. La boutique de fleurs est en fait sous votre contrôle, après avoir considéré cette donnée,il m’as fallu peu de temps avant d’établir un lien logique avec le lépreux chauve.
Pour être franche, je trouve cette caste magnifiquement bien organisée, à vrai dire elle me passionne, fourbe, insaisissable, implanté partout comme le mauvais au sein des hommes.

Ma mémoire à beau ne plus être intacte, les recherches sur lesquelles je travaillaient sont toujours d’une clarté limpide. Celles-ci arrivent bientôt à un terme. Je suis sur le point de créer une nouvelle formule de l’opium, et ce, à base de bulbiflore. Il s’agirait d’un opium nouveau, plus puissant, simple à produire et peu coûteux avec un taux de dépendance plus important, dans le but de constituer une clientèle durable.
À la base, ces recherches étaient dans le but d’assoir la domination du maître sur les cartels pandaliens, mais comme je ne suis plus à son service autant faire profiter une organisation aussi méticuleuse que la vôtre.

Il est vrai que j’en sais suffisamment, voir sûrement trop, pour devenir la proie idéale de vos assassins et je trouve cette situation quoique délicate, fortement délicieuse, mais considérez la chose, m’avoir en vos rangs ne serait-ce pas plus intéressant que de m’avoir morte?
Si je me bats ainsi c’est car j’ai un objectif. Avec la main contrôlant les cartels je sais que les enfants ne seront plus obligés de dealer dans la rue et de subir des violences aussi bien physiques que mentales que j’ai pu connaître. Je ferai tout ce qui est en mon possible pour accomplir ce rêve.

J’ai de grandes ambitions, et vous ?



Ambre de Shaelara connue sous le nom d’Arnie-Cah



••••


Partie HRP descriptif physique et détails:

Bonsoir, j’espère que cette petite lecture vous a plue.
Afin de dresser une description plus complète, Ambre est une femme éniripsa de 27 ans, mesurant 1m75 pour 61kg (elle est donc plutôt svelte). Il s’agit d’une personne belle et élégante qui accorde de l’importance à son apparence physique. Sur l'entièreté de son bras gauche figurent des tatouages de multiples fleurs de lycoris rouges, fleurs qui selon la légende poussent là où les choses se séparent à jamais (elle les as faites faire sachant qu’elle perdrait la mémoire).

Elle maîtrise la magie de feu et dispose d’un intel développé ainsi que des connaissance en herboristerie et en chimie. Cependant, elle n’est pas une combattante, étant dotée d’une faible constitution et d’un cœur fragilisé (suite au massacre du pichon frétillant), elle possède donc une force très peu développée et une vulnérabilité aux attaques physiques. De plus, elle est sujette à une altération de sa mémoire (comme vous avez déjà pu le constater pendant la partie BG). Elle peut s’avérer être capable de discretion mais n’en attendez pas trop d’elle ce n’est pas son domaine de prédilection.

Ayant vécue seule en pandala, elle n’a jamais vraiment connu le culte de sa déesse et donc, elle ne maîtrise pas de sorts de soins, elle peut cependant par le biais de sa connaissance en herboristerie fabriquer des onguents et des cataplasmes.
Il s’agit aussi d’une fumeuse plutôt régulière de tabac de bambou, qu’elle consomme dans une pipe à opium en bambou sacré gravée, assez typique de la famille Colleone.

Quelques détails sur la personnalité et les goûts d’Ambre:
Il s’agit d’une grande amatrice d’alcools en tout genre, elle fait d’ailleurs macérer son propre lait de bambou et dispose toujours d’une fiole sur elle. De plus elle produit elle même son tabac de bambou en le faisant sécher et en le coupant à des fleurs lui rendant un goût doux et délicat; comme pour le lait de bambou, elle en garde toujours à portée de main. Elle aime aussi beaucoup le thé.
Lorsqu’elle est sous l’emprise de la boisson, son côté séductrice ressort et elle devient sulfureuse, en charmant hommes et femmes sur son passage (avec une préférence pour les femmes).
Ambre est une femme maniérée qui peut paraître snob aux premiers abords or elle dispose d’une personnalité chaleureuse et douce lorsque l’on apprend à la connaître. Elle s’avère être assez méticuleuse lorsqu’il s’agit de son travail ou des ses recherches en ne laissant aucun détail au dépourvu.
Anciennement geisha, elle sait parfaitement comment servir et divertir. Elle est d’ailleurs maîtresse de cérémonie du thé un art lenald faisant se rencontrer grâce et précision.
Elle pourrait mourir pour ses convictions.
Elle est accompagnée d’un petit Tanuk qu’elle a pris sous son aile et d’un bulbouture qui reste à son domicile.

Afin de clôturer ce descriptif, il serait important de préciser qu’elle est fiancée à Xerona.



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Partie HRP, rapport au RP:

J’ai découvert le RP sur Dofus par le biais de Xerona (oui encore une fois haha) lors d’une quête improvisée où il s’agissait de poursuivre un étrange écureuil dans la forêt d’Astrub. Après cette aventure, elle m’as introduite au lépreux et j’ai tout de suite accroché à cette communauté des plus sympathique. J’effectuais déjà du RP car je suis amateur de jeux de rôles (D&D notamment et zombicide où nous jouions en immersion), mais j’avoue qu’avant cette rencontre inattendue, je ne pensais pas que le serveur Agride possèderait une communauté RP aussi bien organisée. C’est vraiment une activité que j’apprécie et j’avoue me complaire dans le fait de jouer le rôle d’un personnage de ma propre création.



En espérant que ce troisième jet puisse répondre à vos attentes.

Bien amicalement.

Un Goupil Chevelu

Quelle serait la réaction de ton personnage en découvrant que la Main utilise des enfants pour parvenir à ses fins ?

Bonjour et bienvenue sur le forum de la Main,

Je n'ai lu que la troisième version de ta candidature. Je tiens tout d'abord à souligner et à saluer ton entrain et ta motivation pour le jeu de rôle et la Main. On voit que tu as pris du plaisir à développer ce background.

Malgré ce troisième jet, on peut déplorer de nombreuses fautes d'orthographe, de vocabulaire, ou de syntaxe. N'hésite pas à te relire ou à faire relire ton texte par des proches, cela permettra de prévenir quelques hémorragies !

La richesse de ton Background en termes de références IRL représente aussi un facteur de risque pour la cohérence avec le Monde des Douze.

Peut-être que ces éléments existent dans le folklore de Pandala (je suis loin de m'y connaître), mais je m'interroge sur des notions telles que les geïsha, le thé, l'opium, le tabac de bambou (je suis bien curieux de savoir ce dont il s'agit !). C'est un peu brut de décoffrage d'introduire ces éléments, sans chercher à les adapter davantage au monde des douze. 

Il y aussi certains anachronismes tels que "neurotoxine", et des anglicismes gênants comme "dealer".

Je n'ai pas vraiment compris pourquoi c'était une disciple d'Eniripsa sachant qu'elle est a priori native de l'île. Sauf erreur l'île était coupée du monde et des autres cultes jusqu'à il y a quelques année. Je ne dis pas que c'est impossible, mais c'est suffisamment exceptionnel pour mériter quelques éclaircissements !

Concernant le lien avec la Main, si on fait abstraction des Xerona Papers, cette histoire d'observation des entrées et sorties de la ville me paraît un peu bancale au vu du nombre d'habitants de la cité. Si tu cherches des schémas d'irrégularités de livraisons, je pense que tu n'en trouveras pas que chez ce fleuriste ! Le fait de nous déposer cette lettre est peu coutumier, mais pourquoi pas. L'alignement de ton personnage sera à mon avis plutôt intéressant à confronter avec la réalité de la Main, qui n'est probablement pas aussi mauvaise qu'il le pense, ni aussi tentaculaire. 

Globalement je suis quand même satisfait de cette candidature, tu y a mis de ton être, et c'est normal de faire ce type d'erreur lorsqu'on commence le RP. Reste le lien avec la Main qui est à l'étude !

Ce message contenait un spoil il a donc été suprimé.

Il semblerait que tu n'aies pas reçu l'autorisation de Xerona pour utiliser son personnage ni ses informations sur la Main, contrairement à ce que tu déclarais plus tôt...

Merci pour ton retour scriabine.

Pour ce qui est des geishas, il existe un ensemble d’équipements portant ce nom (geishanneau, geishapeau, geishache et geishape), or si cela pose problème, je peux juste remplacer le nom de ce statut par dame de compagnie (ce qui ne change rien en soit). Le thé est mentionné plusieurs fois dans la série wakfu (par Alibert). Pour le tabac de bambou, il est juste constitué de feuilles de bambous séchées que l’on utilise comme tabac, comme nous savons que certains personnages du lore fument du kaliptus (ex: le koulosse et skeunk), je pensais donc adapter ce concept pour qu’il soit applicable à l'environnement pandalien.
L’opium par contre n’est mentionné nulle pars mais IRL, il s’obtiens via la sève séchée des capsules de pavots et as été découvert en 3000 avant JC par les sumériens ce qui ne crée donc pas réellement d’anachronIsmes. Dans tout les cas le nom peut être modifié mais je pense que l'existence d’une telle drogue n’est pas vraiment problématique si l’on prend en compte la simplicité de sa fabrication.

Pour ce qui est de la découverte de la main, je tiens à préciser que l’idée de la lettre trouvée chez Xerona est abandonnée. J’ai essayé de trouver une histoire qui tenait la route pour la découverte de la main mais j’avoue commencer à arriver à court d’idées.
Sinon veuillez m’excuser pour les fautes d’orthographe j’en ai déjà corrigé beaucoup mais pas assez apparemment ^^.
Si vous avez des pistes d’amélioration, n’hésitez pas je suis preneur !

Le jet numéro 4 arrive cet après-midi, suite à une discussion avec Arlène, j’ai pu établir ce qui n’allait vraiment pas et donc trouver des pistes d’améliorations. Merci de votre patience, j’espère cette fois ci poster le dernier jet !

Quatrième jet :

Partie RP:


Une enveloppe de papier sombre est disposée derrière le comptoir du lépreux, surveillée par la présence du serveur fantomatique.
Sur celle-ci figure en lettres soignées : à l’intention de la main. Elle dispose d’un sceau de cire rouge où trône les initiales AS.
Une fois ouverte, vous pourrez y trouver une lettre ainsi qu’une série de feuilles proprement organisées. On devine qu’elles proviennent d’un journal personnel.
Quelque soit le contenu de l’enveloppe, elle est là pour qu’un membre la trouve.


•••


Une fois l’enveloppe ouverte, vous commencez par la lecture des pages jaunies à l’odeur de renfermé. La première de ces pages est datée du 5 Maisal 649. Les mots y figurant défilent à présent sous vos yeux.

Cher journal, j’avoue être ébranlée par de nombreux doutes. Je suis perdue... comme accablée de mille questions. J’hésite à laisser une trace de mon histoire quelque part, avec ma plume pourtant si indécise.
Or, les mots s’impriment sur ce papier sans me laisser le droit de renoncer. Je n’ai donc pas d’autre choix que d’entamer cette biographie, pipe aux lèvres.
Si ces notes finissent entre les mains de quelqu’un c’est que j’estime qu’elles valent la peine d’être lues.

Je suis née Ambre de Shaelara, dans le village du pichon frétillant à Pandala. D’après les dires de ma mère, elle me portait en elle avant de faire naufrage sur l’île. Elle décidera par la suite de m’y élever, et ce malgré les préjugés dont nous étions victimes.

J’ai eu une enfance plutôt décente jusqu’à mes quinze ans, malgré l’alcoolisme de ma mère. Jusqu’à sa mort elle m’a caché l’identité de mon géniteur. Il fut remplacé par l’odeur de renfermé des livres de botanique et d’alchimie. Malgré sa condition, ma mère m’a transmis le goût de la musique, de l’art et de la séduction.
Rien de vraiment spécial jusque là me direz-vous, et vous aurez raison. il s’agissait d’une enfance paisible, s’il on oublie les nombreuses fois où j’ai enjambé un corps sur le sol. Quand j’y repense, écrire ces mots m’amuse. Ils me rappellent une époque ou j’étais encore naïve et libre comme l’air.

Son alcoolisme a malheureusement eu raison d’elle, et son foie, atteint de cirrhose l’affaiblissait à vue d’œil.
Malgré mon jeune âge j’ai du trouver un moyen de ramener assez d’argent pour nous nourrir et garder notre maison. Les travaux qui rapportaient suffisamment se trouvaient dans les bambouseraies. Or je n’étais pas assez forte pour cela, et je devais trouver des kamas, et vite.
J’ai donc choisi ce qui rapportait le plus : cultiver et vendre du tabac et des herbes aux vertues apaisantes. Même si ce travail était illégal et dangereux, il rapportait suffisamment pour nous maintenir en vie. Je faisais donc pousser des clochettes et du kaliptus.
Tout en confectionnant du tabac de bambou à base de feuilles de bambous sombres fumées.
Cela m’a attiré pas mal de problèmes avec les cartels pandaliens qui me considèreraient comme une concurrente. Ce qui explique quelques cicatrices que je porte aujourd’hui.

Un incident a cependant comme mis un terme définitif à cette vie de débrouille. Profitant de l’exil de Zatoïshwan, péki péki et les kitsous menèrent un raid sur le village alors dénudé de toute protection.
Le héros déchu revint nous défendre, mais dans un excès de rage destructrice il réduisit tout en cendres: ennemis, alliés et même bâtiments.

N’ayant plus d’endroit où vivre et ayant tout perdu, j’ai essayé de trouver refuge en feudala. J’ai donc demandé asile chez les lenalds. Ils acceptèrent de me nourrir et de m’héberger en échange de ma dévotion au maître Colleone. Il s’agissait d’un puissant parrain qui jugeait bon d’ajouter une femme de compagnie exotique à sa collection.

Me jugeant trop jeune et inexpérimentée, j’ai dû suivre une formation guidée par les vielles lenaldes, dans le respect de la tradition. Durant cette formation j’ai appris de nombreuses choses dont la pratique de la musique arcanique : un art magique qui permet d’envoûter les personnes qui l’écoute. Elles m’ont aussi appris certaines coutumes traditionnelles, telles que l’art du thé ou encore la calligraphie.
À l’heure où je parle, je garde encore ma peau tatouée en signe d’appartenance.

Après quatre années de formation, j’étais devenue une femme compétente de sa cour. Les pandaliens ayant eu vent de nos talents nous demandaient souvent des services. La plupart du temps, ils avaient pour but de charmer des contacts politiques ou marchands afin de leur soutirer de l’argent ou forcer des accords. J’ai donc beaucoup été affectée sur des missions de contrebande de bambou sacré. Mon rôle était de charmer les éventuels obstacles. Du moment que mon maître et moi-même recevions une quantité intéressante de kamas, je n’accordais pas vraiment d’importance à la justesse de la tâche à accomplir.

Une fois l’édit de Vhel de 643 passé, le commerce de bambou sacré a été monopolisé par des riches commerçants venant des grandes cités. J’ai donc passé les 6 dernières années à accomplir des recherches tout en restant à mi temps à la cour.

À l’heure où j’écris ces lignes je suis à Astrub, cité des aventuriers et des marchands avec pour but d’avancer sur mes recherches. Je pense tenir quelque chose, j’y suis presque...



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Ici sont les seules traces écrites de mon passé.

Tout est flou à présent, je n’ai que des bribes de souvenirs et ma mémoire revient peu à peu. Tout ce qui concerne la musique arcanique a cependant disparu.
J’ai réussi à retrouver Xerona, une personne qui m’étais extrêmement chère avant que je n’oublie tout. Nos retrouvailles quelques peu étranges m’ont permis de clarifier la situation. Pour résumer de façon concise, ayant pour quête de récupérer ma liberté auprès du maître Colleone, j’aurais renoncé à une partie de ma mémoire. Je m’excuse donc aux habitués du lépreux, malgré les bons moments que j’ai passés dans cette taverne, je n’en ai pas gardé le moindre souvenir.

Trêve de palabres, si je dépose cette enveloppe ici c’est dans le but de rejoindre la main.

J’en ai eu vent de son existence lors d’une conversation avec une amie contrebandière. Je savais donc uniquement qu’il s’agissait d’une organisation criminelle secrète implantée à Astrub, mais je manquais cruellement d’informations.
Si je voulais la rejoindre il fallait que je trouve l’une de ses enseignes, il fallait en apprendre plus...
Je me suis donc mise en quête d’un des repères de la main. Après des semaines de recherches et de travail acharné, j’ai enfin aperçu une lueur dans l’obscurité. J’avais réussi à obtenir une poignée de mots :
Le lépreux Place des supplices.

Pour être franche, vous trouver n’a pas été chose aisée. Votre groupe est très organisé et ne laisse aucune trace derrière lui.
N’ayez crainte, mon contact gardera votre secret dans sa tombe : c’est une personne de confiance.

Changeons de sujet.
Ma mémoire a beau ne plus être intacte, les recherches sur lesquelles je travaillaient sont toujours d’une clarté limpide.
Celles-ci arrivent bientôt à un terme.

Je suis sur le point de créer une nouvelle drogue, et ce, à base de bulbiflore.
Il s’agit d’une résine séchée qui, une fois fumée, provoque des effets hallucinogènes puissants. Le taux d’addiction élevé nous permettra de constituer une clientèle fidèle. Je l’ai appelée Thé Hashcé.
À la base, ces recherches avaient pour but d’assoir la domination du maître sur les cartels pandaliens. N’étant plus à son service, autant faire profiter une organisation aussi ambitieuse que la vôtre.

Il est vrai que j’en sais suffisamment, voir sûrement trop, pour devenir la proie idéale de vos assassins. Je trouve cette situation quoique délicate, fortement délicieuse. Mais considérez la chose : m’avoir en vos rangs ne serait-ce pas plus intéressant que de m’avoir morte?

Si je me bats ainsi c’est car j’ai un objectif.

Avec la main au contrôle des cartels, je sais que les enfants ne seront plus obligés de vendre dans la rue et de subir les violences que j’ai pu connaître. Je ferais tout ce qui est en mon possible pour accomplir ce rêve.

J’ai de grandes ambitions, et vous ?



Ambre de Shaelara connue sous le nom d’Arnie-Cah



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Partie HRP descriptif physique et détails:

Bonsoir, j’espère que cette petite lecture vous a plue. Dans cette partie, je vous propose un descriptif plus poussé d’Ambre.
Ambre est une femme éniripsa de 27 ans, mesurant 1m75 pour 64kg. Elle est élégante et accorde de l’importance à son apparence physique (par le biais d’un style excentrique et séducteur).
Sur l'entièreté de son bras gauche figure un tatouage représentant de multiples fleurs de lycoris rouges.
Ces fleurs, selon la légende, pousseraient là où les choses se séparent à jamais.

Elle maîtrise la magie de feu et dispose d’un intel développé ainsi que des connaissance en herboristerie et en alchimie.
Cependant, elle n’est pas une combattante, car elle est dotée d’une faible constitution et d’un cœur fragilisé (suite au massacre du pichon frétillant). Elle possède donc une force très peu développée. Elle est aussi vulnérable aux attaques physiques. De plus, elle est sujette à une altération de sa mémoire (comme vous avez pu le constater dans la partie BG).

Malgré sa vénération pour eniripsa, elle ne maîtrise pas bien les mots de soins, préférant de loin les mots offensifs. Or elle peut par le biais de sa connaissance en herboristerie, fabriquer des onguents et des cataplasmes.

Il s’agit aussi d’une fumeuse plutôt régulière de tabac de bambou. Elle le consomme dans une longue pipe en bambou sacré gravée, assez typique du clan Colleone.


Quelques détails sur la personnalité et les goûts d’Ambre:

Elle est une grande amatrice d’alcools, et fait macérer son propre lait de bambou (elle dispose toujours d’une fiole sur elle).
De plus elle produit elle même son tabac de bambou en le faisant sécher et en le coupant à des fleurs lui donnant un goût doux et délicat. Comme pour le lait de bambou, elle en garde toujours à portée de main. Elle aime aussi beaucoup le thé.

Lorsqu’elle est sous l’emprise de la boisson, son côté séductrice ressort et elle devient sulfureuse, charmant hommes et femmes sur son passage (avec une préférence pour les femmes).
Ambre est une femme maniérée qui peut paraître snob aux premiers abords or elle dispose d’une personnalité chaleureuse et douce lorsque l’on apprend à la connaître.
Elle s’avère être assez méticuleuse lorsqu’il s’agit de son travail ou des ses recherches.
Elle est accompagnée d’un petit Tanuk qu’elle a pris sous son aile et d’un bulbouture qui reste à son domicile.

Afin de clôturer ce descriptif, il serait important de préciser qu’elle est fiancée à Xerona.



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Partie HRP, rapport au RP:

J’ai découvert le RP sur Dofus par le biais de Xerona lors d’une quête improvisée où il s’agissait de poursuivre un étrange écureuil dans la forêt d’Astrub.
Après cette aventure, elle m’as introduite au lépreux et j’ai tout de suite accroché à cette communauté des plus sympathique.
J’effectuais déjà du RP car je suis amateur de jeux de rôles (D&D notamment et zombicide où nous jouions en immersion). Or, je ne pensais pas que le serveur Agride possèderait une communauté RP aussi bien organisée.

C’est vraiment une activité que j’apprécie et j’avoue me complaire dans le fait de jouer le rôle d’un personnage de ma propre création.



Merci de votre patience et de vos conseils, j’espère avoir enfin réussi à produire une version convenable à tous.

Bonsoir Arnie !

Déjà, merci d'avoir pris le temps d'éditer de nombreuses fois ta candidature, ça montre ta grande motivation à nous rejoindre et ça fait plaisir à voir !

Concernant l'histoire de ton perso, je la trouve bien détaillée et l'avantage est qu'elle permet d'exploiter un peu plus la zone de Pandala. On voit d'ailleurs que tu t'es bien renseigné sur le sujet, vu que tu prends le temps de développer les différentes cultures et particularités de l'île, en te concentrant sur la contrebande et la culture illégale des herbes !

J'aime aussi bien le fait que tu fasses des références au Background officiel, ça montre ton intérêt pour l'histoire du jeu et permet de mieux situer ton personnage par rapport aux différents événements qui se sont produits à Pandala et dans le Monde des Douze.

L'idée du journal est également intéressante, car on peut voir l'évolution des pensées et des objectifs d'Arnie. Enfin, un autre point positif est que tu as pris la peine de décrire en détails la personnalité, le physique et les habitudes de ton personnage, tu pars donc déjà avec de bonnes bases !

Voilà, je pense avoir tout dit ! Je suis donc pour ton intégration en guilde !

Allez, bien qu'il subsiste des coquilles, le fond se tient bien mieux ainsi. Rejoins-nous donc !

Merci à tous pour votre aide et vos retours (tout particulièrement à Arlène et Scriabine). J’ai hâte de pouvoir rp avec vous tous !

Bravo pour ta persévérance ! Je suis aussi pour !

Le lien avec la Main est bien mieux tourné que dans la précédente version. 

Je demeure dubitatif sur la notion de "tabac de bambou", sachant que le tabac est une plante (a priori non présente dans le monde des douze), et que le bambou en est une autre. Il faudrait juste que tu trouves une autre formulation de type "feuilles de bambou à fumer".

Sur le reste, il y a une amélioration. C'est quand même plus séduisant de parler de Thé Hashcé que d'opium (même si en l'occurrence ce sont des substances qui n'ont rien à voir).

Je suis donc bien entendu favorable à ce que tu nous rejoignes !

Je suis pour l’utilisation d’un autre acronyme pour le tabac de bambou du style ‘bambou à pipe’.
Pour ce qui est de la substance, ce nouveau nom est nettement plus approprié à la drogue que j’ai décrite. Dans thé hashcé on retrouve THC (tétrahydrocannabinol), mais aussi le hash de hashish. J’ai précisé que cette nouvelle drogue était issue de résine de fleur séchée. Le hashish est aussi une résine de fleur et de pollen (de canabis cette fois). Ma substance se rapprochant donc du hashish qui est une autre façon alternative de consommer de la marijuana, le nom se rapprochant de THC est donc très approprié. (C’était le petit cours de psychotropes merci pour votre écoute)