[Compte-Rendu] Mère Kotte la pâtissière
Page 1 sur 1
[Compte-Rendu] Mère Kotte la pâtissière
Grâce à sa petite annonce, la mère Kotte parvint à réunir du beau monde, l’après midi du 11 maisial. On n’en attendait pas moins de la part de la célèbre pâtissière à l’origine de la délicieuse recette de la patte de l'Homme-Ours ! Elle et son mari Cyril avaient justement eu l’idée d’une nouvelle douceur et avaient décidé de réunir d’intrépides et gourmands aventuriers dans le but de les aider à préparer cette pâtisserie à base de chocolat tout droit venu de l’île de Pwâk !
La mère Kotte avait déjà prévenu l’un de ses habituels fournisseurs : Pépé Hizan qui l’attendait dans son atelier voisin. L’homme lui jura qu’il lui avait mis de côté un sac d’une farine extra-fine… sauf qu’il avait oublié où il l’avait rangé et qu’il n’y voyait pas clair.
Heureusement, l’un des aventuriers – un dénommé Soute – eut la bonne idée de prêter ses lunettes au vieil homme qui remarqua que la mère Kotte n’était pas la cliente qu’il attendait… Il n’avait d’ailleurs pas préparé de sac pour la pâtissière ! De plus, un groupe de rats voraces avait élu domicile dans le grenier de son moulin et il n’osait plus y grimper par crainte de leurs morsures. Il proposa aux aventuriers présents de l’aider à s’en débarrasser en échange d’un sac de farine. Le marché fut rapidement conclu !
Le vieil Enutrof guida les aventuriers jusqu’à l’antre des rongeurs-mordeurs où ils ne firent qu’une bouchée des intrus, rendant le paysan fou de joie ! Ce dernier tint parole et fournit à la Mère Kotte ce qu’elle était venue chercher.
Sans perdre un instant, la pâtissière guida le petit groupe jusqu’à l’un de ses champs dans le but d’y récupérer un tonneau d’un ingrédient « secret ». C’est son Cyril qui l’y avait enterré, mais il n’avait pas précisé à quel endroit.
Les aventuriers, aussi curieux que généreux, donnèrent un coup de main à leur commanditaire afin de l’aider à retrouver le précieux ingrédient enterré. Pour ce faire, ils lui indiquèrent où creuser car ils avaient rapidement compris que plus la terre remuée était claire, plus la proximité du tonneau enfoui était grande. La faute à son contenu ? Le mystère demeure entier ! Retenez seulement que la Mère Kotte mit la main – et la pelle – sur son cher tonnelet...
Après avoir entreposé la denrée mystérieuse dans l’atelier de la pâtissière, le groupe se dirigea vers l’île de Pwâk à bord d’un aéronef étonnant, car leur pâtisserie au chocolat ne se ferait pas sans… chocolat.
Cyril avait donné à sa douce les noms des deux « meilleurs chocolatiers » de l’île selon lui. Le premier d’entre eux, Milkwa, proposa à la mère Kotte de lui vendre de son chocolat contre la modique – et maudite – somme de 100 000 kamas le kilopod !!!
Après de dures négociations les aventuriers eurent tout de même le droit de goûter le chocolat.
Le goût était unique, splendide, parfait ! Tant et si bien qu’on vit rouler une larme de bonheur sur la joue de la mère Kotte et de ses apprentis marmitons.
Le prix était cependant trop élevé pour la vieille qui aurait besoin d’une grande quantité de la denrée. Elle proposa à ses accompagnateurs d’aller chercher son bonheur ailleurs.
C’est au sud de l’île flottante qu’ils rencontrèrent Kindew, le second chocolatier mentionné par Cyril et qui s’était déjà fait un petit nom sur l'île grâce à ses fameux « oeufs-surprises ».
La dégustation des ovoïdes chocolatés fut suivie de l’annonce de leur prix : 10 000 kamas le kilopod.
La mère Kotte, cette aimable veinarde, put compter sur les talents de négociateurs de ses renforts du jour et le prix du kilopod fondit comme Kwakao au soleil à 1 000 kamas l’unité. En contrepartie, la matrone ouvrirait une boutique amaknéenne afin de permettre au Warkaïk d’y écouler sa marchandise et de gagner en visibilité. Kindew accepta l’offre et lui remit une caisse d’oeufs dans le but de sceller cet accord.
La Mère Kotte ayant tous ses ingrédients en poche, elle s’attela à la confection de sa nouvelle gourmandise dans le secret de son atelier. Elle y donna rendez-vous à ses mitrons afin que ces derniers lui servent de goûteurs, ce dont ils ne se firent pas prier ! Le groupe débarqua pendant la cuisson des nouveaux mets, alors que l’odeur de chocolat embaumait la cuisine et que la Mère Kotte se remuait les méninges en fronçant les sourcils.
Avec toutes ces péripéties, elle n’avait pas eu le temps de réfléchir au nom qu’elle donnerait à sa pâtisserie et hésitait entre deux appellations : la kakaotine et le pain au kakao. Ses apprentis du jour l’ayant soutenue sans faillir, elle leur délégua la lourde tâche du choix du nom.
Il serait erroné de dire que les débats firent rage, il serait exagéré de dire que les sud-amaknéens en vinrent aux mains avec les nord-amaknéens, et il serait impensable d’imaginer qu’un tel dilemme déchaîna les passions car ils se mirent tous d’accord en quelques instants. Impatients qu’ils étaient d’avoir la primeur de goûter à la toute chaude et inédite... Kakaotine !
La Main du Valet Noir remercie chaleureusement tous les aventuriers qui étaient présents lors de cette excursion en Amakna et sur l’Île de Pwâk ! Grâce à votre aide précieuse et à votre engouement, Mère Kotte a désormais tous les ingrédients nécessaires pour vous régaler avec ses kakaotines !
Si vous avez apprécié cette aventure, n’hésitez pas à nous suivre pour être avertis de nos futures animations.
Heureusement, l’un des aventuriers – un dénommé Soute – eut la bonne idée de prêter ses lunettes au vieil homme qui remarqua que la mère Kotte n’était pas la cliente qu’il attendait… Il n’avait d’ailleurs pas préparé de sac pour la pâtissière ! De plus, un groupe de rats voraces avait élu domicile dans le grenier de son moulin et il n’osait plus y grimper par crainte de leurs morsures. Il proposa aux aventuriers présents de l’aider à s’en débarrasser en échange d’un sac de farine. Le marché fut rapidement conclu !
Le vieil Enutrof guida les aventuriers jusqu’à l’antre des rongeurs-mordeurs où ils ne firent qu’une bouchée des intrus, rendant le paysan fou de joie ! Ce dernier tint parole et fournit à la Mère Kotte ce qu’elle était venue chercher.
Sans perdre un instant, la pâtissière guida le petit groupe jusqu’à l’un de ses champs dans le but d’y récupérer un tonneau d’un ingrédient « secret ». C’est son Cyril qui l’y avait enterré, mais il n’avait pas précisé à quel endroit.
Les aventuriers, aussi curieux que généreux, donnèrent un coup de main à leur commanditaire afin de l’aider à retrouver le précieux ingrédient enterré. Pour ce faire, ils lui indiquèrent où creuser car ils avaient rapidement compris que plus la terre remuée était claire, plus la proximité du tonneau enfoui était grande. La faute à son contenu ? Le mystère demeure entier ! Retenez seulement que la Mère Kotte mit la main – et la pelle – sur son cher tonnelet...
Après avoir entreposé la denrée mystérieuse dans l’atelier de la pâtissière, le groupe se dirigea vers l’île de Pwâk à bord d’un aéronef étonnant, car leur pâtisserie au chocolat ne se ferait pas sans… chocolat.
Cyril avait donné à sa douce les noms des deux « meilleurs chocolatiers » de l’île selon lui. Le premier d’entre eux, Milkwa, proposa à la mère Kotte de lui vendre de son chocolat contre la modique – et maudite – somme de 100 000 kamas le kilopod !!!
Après de dures négociations les aventuriers eurent tout de même le droit de goûter le chocolat.
Le goût était unique, splendide, parfait ! Tant et si bien qu’on vit rouler une larme de bonheur sur la joue de la mère Kotte et de ses apprentis marmitons.
Le prix était cependant trop élevé pour la vieille qui aurait besoin d’une grande quantité de la denrée. Elle proposa à ses accompagnateurs d’aller chercher son bonheur ailleurs.
C’est au sud de l’île flottante qu’ils rencontrèrent Kindew, le second chocolatier mentionné par Cyril et qui s’était déjà fait un petit nom sur l'île grâce à ses fameux « oeufs-surprises ».
La dégustation des ovoïdes chocolatés fut suivie de l’annonce de leur prix : 10 000 kamas le kilopod.
La mère Kotte, cette aimable veinarde, put compter sur les talents de négociateurs de ses renforts du jour et le prix du kilopod fondit comme Kwakao au soleil à 1 000 kamas l’unité. En contrepartie, la matrone ouvrirait une boutique amaknéenne afin de permettre au Warkaïk d’y écouler sa marchandise et de gagner en visibilité. Kindew accepta l’offre et lui remit une caisse d’oeufs dans le but de sceller cet accord.
La Mère Kotte ayant tous ses ingrédients en poche, elle s’attela à la confection de sa nouvelle gourmandise dans le secret de son atelier. Elle y donna rendez-vous à ses mitrons afin que ces derniers lui servent de goûteurs, ce dont ils ne se firent pas prier ! Le groupe débarqua pendant la cuisson des nouveaux mets, alors que l’odeur de chocolat embaumait la cuisine et que la Mère Kotte se remuait les méninges en fronçant les sourcils.
Avec toutes ces péripéties, elle n’avait pas eu le temps de réfléchir au nom qu’elle donnerait à sa pâtisserie et hésitait entre deux appellations : la kakaotine et le pain au kakao. Ses apprentis du jour l’ayant soutenue sans faillir, elle leur délégua la lourde tâche du choix du nom.
Il serait erroné de dire que les débats firent rage, il serait exagéré de dire que les sud-amaknéens en vinrent aux mains avec les nord-amaknéens, et il serait impensable d’imaginer qu’un tel dilemme déchaîna les passions car ils se mirent tous d’accord en quelques instants. Impatients qu’ils étaient d’avoir la primeur de goûter à la toute chaude et inédite... Kakaotine !
*
* *
*
* *
*
La Main du Valet Noir remercie chaleureusement tous les aventuriers qui étaient présents lors de cette excursion en Amakna et sur l’Île de Pwâk ! Grâce à votre aide précieuse et à votre engouement, Mère Kotte a désormais tous les ingrédients nécessaires pour vous régaler avec ses kakaotines !
Si vous avez apprécié cette aventure, n’hésitez pas à nous suivre pour être avertis de nos futures animations.
Liste des rôles :
Olgah-Zih : Mere-Kotte
Varjo : Pepe-Hizan, Kindew
Arlene-Kwinzel : Skrikitik, Milkwak
Kalirr : Kristikik
Captures d’écran : Olgah-Zih, Varjo, Kalirr, Phenor
Compte-rendu : Olgah-Zih, Arlene-Kwinzel, Varjo
Olgah-Zih : Mere-Kotte
Varjo : Pepe-Hizan, Kindew
Arlene-Kwinzel : Skrikitik, Milkwak
Kalirr : Kristikik
Captures d’écran : Olgah-Zih, Varjo, Kalirr, Phenor
Compte-rendu : Olgah-Zih, Arlene-Kwinzel, Varjo
Olgah- 8♣
- MusicienLorsque l'on passe son temps à faire le mal, il est parfois bon de savoir adoucir les moeurs.Négociateur IIILe maître-négociateur serait capable d'acheter à peu près n'importe quoi à n'importe qui pour un prix défiant les lois du commerce !ContrebandierNavigateur, montagnard ou géographe, le contrebandier connaît les routes, les sentiers et les postes de douane ! Il sait par où et comment doivent transiter ses marchandises pour qu'elles arrivent au plus vite et sans encombre.Comédie ILe premier niveau de comédie permet d’adopter une posture en face d’un interlocuteur, d’avoir déjà quelques bottes secrètes pour éviter les questions désavantageuses, et utiliser des techniques d’interrogatoire pour obtenir des renseignements.Millésime 648Où la Main fait respecter son Code.Millésime 649Où la Main se pique de noblesse.Millésime 650Où la Main s'engage dans un bras de fer.Millésime 651Où la Main fait peau neuve.
- Messages : 148
Date d'inscription : 08/12/2018
Sujets similaires
» [Event] Mère Kotte la pâtissière
» [Compte-rendu] De fil en aiguille
» [Compte-rendu] La potion d'Alberto Xik
» [Compte-rendu] L'atelier d'Elisa
» [Compte-rendu] La boisson de Nowel
» [Compte-rendu] De fil en aiguille
» [Compte-rendu] La potion d'Alberto Xik
» [Compte-rendu] L'atelier d'Elisa
» [Compte-rendu] La boisson de Nowel
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|