Irrisa L'Dejeu, joueuse de cartes

Astrub, la nuit était calme et paisible. La lune éclairait doucement la ville tranquillement endormie, aérée d’un vent doux et léger. Le temps ne semblait pas s’être arrêté sur la cité car plusieurs auberges et tavernes gardaient leurs portes ouvertes pour accueillir voyageurs et fêtards du coin.
Dans ces lieux-ci, la joie de vivre et la bonne humeur étaient au rendez-vous. Même autour d’un verre d’alcool où soldats en permission, voyageurs, ivrognes et vieux croutons contaient leurs aventures. Cependant, il semblait y avoir un évènement dans une taverne, au vu de l’attroupement et du brouhaha provoqué par la foule.
Des cris de surprise et rires faisaient croire que les spectateurs pariaient. Quant à l’objet de leur attention se trouvaient, à une table, quatre joueurs de cartes. Deux Ecaflips, un Féca et une Osamodas qui gardait son Piou sur son épaule. Au centre, un plateau de poker.

Les participants gardaient chacun leurs deux cartes à l’abri des regards indiscrets, alors que le croupier se contentait de regarder le jeu avec attention. Le troisième tour allait se terminer, et c’était à l’Osamodas de prendre sa décision.
Elle observa attentivement le jeu, prenant un petit temps pour réfléchir avant d’avancer une pile de pièces sur le plateau : « Deux-mille. »
La foule entama alors une ovation pour l’Osamodas qui risquait à tout moment de perdre son argent. Les paris changèrent, se multiplièrent ou se rétractèrent dans l’ambiance enflammée de la pièce.
Le croupier retourna la dernière carte, la rivière, annonçant le début du quatrième et dernier tour de mise. Sur le plateau se trouvait un as de pique, une dame de cœur, un dix de cœur, une dame de trèfle et un roi de carreau. Après l’Osamodas vint le tour du premier Ecaflip, qui monta la mise à trois mille. Le Féca, quant à lui, préféra se coucher.

La dernière Ecaflip étira un large sourire surmonté d’une canine provocatrice. Ses vibrisses, ornant avec beauté sa truffe humide, étaient encadrées de ses yeux marron foncés. Ils étaient légère-ment masqués par la frange brune et hirsute de son épaisse tignasse tressée. Cette coiffure, à la fois modeste et agréable à l’œil, entrait en un parfait contraste avec le pelage gris souris de l’Ecaflip. Elle tapota doucement le dos de ses cartes tout en réfléchissant à son action.
Tout en levant son regard, elle semblait vouloir deviner la valeur des cartes de chaque joueur. Alors qu’elle posa son jeu momentanément, elle avança la totalité de ses gains vers le tapis. L’Ecaflip ne regardait pas ses adversaires dans les yeux, préférant fixer avec attention ses cartes et le plateau.
« Tapis ! »

La foule redoubla d’ardeur à cette annonce décisive alors que les joueurs s’en trouvaient bien embêtés. La totalité des gains sur la table s’élevait à 7636 kamas. Une somme plus que convenable, et qui méritait d’être défendue. Mais l’air tranquille et sûr de la joueuse sema le doute chez les parti-cipants encore debout.
L’Osamodas grogna un peu avant de poser son jeu sur la table, face cachée. L’Ecaflip quant à lui cherchait à percer les intentions de sa camarade assez audacieuse. Il eut un petit sourire, silencieux, alors qu’il se coucha à son tour.
« Bien joué, Ecaflip. »
Irrisa sourit davantage. La somme lui appartenait désormais. Un petit pécule, mais assez pour tenir encore quelques jours ou, au mieux, le mois. Ceci lui aurait normalement suffit si elle ne partageait pas son argent. En effet, ses parents avaient depuis quelques semaines des problèmes d’argent, et Irrisa faisait son possible pour les aider. Mais les jeux ne suffisaient pas à cela.
En bonne espiègle, elle ne retourna qu’une carte de son jeu : un dix de carreau. Elle avait une paire, mais peut-être avait-elle un brelan ? Ou un full ?
Personne ne le savait. Aussitôt la carte posée, aussitôt la chachatte claqua des doigts. Les cartes se mirent alors toutes à quitter leur position en un vol plané, prenant les airs. Alors qu’elles rejoignaient la boîte en bois qui les abritait, le tout en une gracieuse pirouette, l’Ecaflip les enferma. La rangeant dans son sac en bandoulière, avec sa somme, elle salua ses adversaires de jeu.
Par ailleurs, sa sacoche était une sorte de besace large dont le rabat ressemblait étrangement à une tête de chat, le museau étant l’attache et les yeux deux poches extérieures. Des moustaches avaient été rajoutées pour amplifier l’impression.
Le public se dispersa, laissant quelques groupes qui échangèrent les résultats de leur pari dans la bonne humeur et l’alcool.

L’Ecaflip partit au bar pour s’y accouder tranquillement. Possédant une chemise lâche s’arrêtant aux épaules, elle était habillée telle une baroudeuse. Un gilet en jute gris avec deux poches intérieures restait ouvert sur le laçage qui enserrait la poitrine convenablement généreuse de la joueuse de poker.
Elle grimpa sur un tabouret, écartant légèrement les jambes pour faciliter son équilibre alors que sa queue au poil mi-long pendait tranquillement en l’air. Ses mollets étaient à nu, et ses pieds sans souliers. Un pantalon large et confortable, retroussé jusqu’aux genoux, venait couvrir ses cuisses, le tout maintenu par une ceinture bouclée d’un Pique.
L’Ecaflip commanda un bol de lailait, lâchant sur le comptoir une poignée de kamas. Se retournant pour balayer la salle du regard, elle laissa échapper un soupir satisfait. Puis saisit son bol, approchant son museau du bord, avant de laper rapidement le liquide d’albâtre qui lui ravit les papilles.
Deux jeunes Xelors accoururent alors en direction de la joueuse de poker, qui haussa un léger sourcil à leur arrivée. Semblant motivé et joyeux, celui au foulard bleu prit la parole.

« Bonjour ! dit-il, rapidement suivit de celui au chapeau vert.
— Bonjour ! Tu joues trop bien !

Irrisa croisât les bras amusée en reposant son lailait. Des petits admirateurs.

— Héhé, c’est l’expérience ! répondit-elle avec entrain.

— Et, et, on a entendu dire que tu savais faire des trucs avec tes mains, tu nous montres ?

Le petit au foulard bleu avait relevé une compétence de l’Ecaflip ; la prestidigitation.

— Eh bien.

Elle n’en dit pas plus, sortant son paquet de cartes pour le mélanger aisément. Les deux Xelors ouvrirent grand les yeux, ébahis. Irrisa se mit à leur niveau pour leur montrer le paquet en train d’être mélangé. Elle leur présenta ensuite en éventail, à leur disposition.

— Choisissez donc une carte que vous ne me montrez pas !

Celui au chapeau vert choisit une carte située vers la droite, la retournant en avisant sa valeur avec son partenaire. Après un hochement de tête complice, ils remirent aléatoirement la carte dans le paquet.

— Vous savez que les cartes, si on les remues trop vite, disparaissent ? souffla joyeusement l’Ecaflip en mélangeant à nouveau les cartes.

Les deux petits eurent des étoiles dans les yeux. La magicienne étala à nouveau ses cartes en éventail vers ses spectateurs, face visible.

— Est-ce que vous trouvez votre carte parmi celles-ci ?

Ils se penchèrent vers le jeu avec attention tout en manipulant l’éventail pour la chercher.

— Heu… Tu la vois, toi ? Demanda celui au chapeau vert.

— Non… lui répondit le petit au foulard bleu en secouant la tête, dépité.

— Vous voyez, je vous l’avais dit, la carte s’est volatilisée dans les airs !

Les deux Xelors entamèrent un long cri d’impatience et de joie.
Irrisa sourit. Son tour marchait à merveille, et elle semblait ne pas avoir perdu la main.

— Mais ces cartes ne disparaissent pas bien longtemps… Elles finissent par revenir dans le paquet ! leur dit-elle en mélangeant les cartes.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle s’empressa d’amplement retourner les cartes en éventail, les laissant aux yeux des deux enfants. En parcourant de l’œil l’étendue colorée, ils remarquèrent une carte face cachée.

— Mais…! dit celui au foulard bleu, les yeux grands ouverts après l’avoir retournée. C’est notre carte !

Son acolyte hocha pour appuyer ses dires, ébahi.

— En voilà des têtes que vous me faites, haha ! annonça la magicienne en riant, avant de poursuivre. Attention les enfants, vos bonbons risquent de se perdre. »

L’Ecaflip se releva avec les pochettes pleines de bonbons que chacun portaient à la ceinture. Elle les avait subtilisés avec facilité pour les taquiner, les leur rendant par la suite dans les rires et cris joyeux des gamins.
Elle retourna donc boire son lailait en paix, finissant lentement sa soirée avant de quitter la taverne à la recherche d’une auberge.
Pendant ce temps, assis au comptoir, se trouvait un homme chapeauté vêtu de vert qui avait tout suivi de l’action de la jeune femme, action qui ne le laissa pas indifférent.

Le lendemain, un Pandawa plutôt agile vint voir la dénommée Irrisa. Apprenant à la connaître en prétendant être intéressé par ses jeux, il nota rapidement les talents de manipulatrice et de bluff de la jeune femme. Sans compter son expérience du jeu qui pourraient toujours être utiles pour des utilisations illicites.
A force de conversation et de paris refusés sur plusieurs jours, il vint à découvrir qu’Irrisa était à la recherche d’un travail. Quelque chose de plus régulier et fructueux que les jeux, qui n’apportaient que peu d’argent de manière aléatoire. Sans compter que les joueurs qui acceptaient de parier n’étaient pas courants.
Déterminée à ne pas sombrer, la féline vint à dire un jour au Pandawa, alors que le sujet fut abordé, qu’elle serait prête à tout pour permettre à ses parents et l’Ecaflip de vivre. Et même lorsque le Pandawa parla astucieusement d’activités illégales sans griller sa couverture, la femme acquiesça.
C’était donc avec ces informations en poche que le Pandawa revint faire son rapport à l’homme chapeauté.


L'utilisation du pnj Pandawa et du perso de Sam m'ont été autorisées par Sam lui-même.

Quant à moi, j'ai dix-huit ans. Et je rp depuis cinq ans au moins en ayant commencé le rp sur Starbound, un jeu vidéo.
J'ai sauté de commu en commu, toutes en train de périr. Après avoir erré dans les serveurs discord (où le rp est vraiment pas terrible) j'avais envie de rp à nouveau en jeu vidéo avec une commu active et qui me permettra enfin d'évoluer mon perso.
J'ai rejoint d'abord Dofus pour rp en duo avec une amie rôliste et ai créé Irrisa pour cette occasion. Une semaine après la création du perso (Et une étude approfondie du lore, réflexe de rôliste) j'ai rp au lépreux chauve et ai rejoint le discord de la commu au même moment. J'ai donc pas rp des masses sur Dofus avant ma candid, trois quatre fois.

Bienvenue sur le forum, puisque c'est ton premier message !

Je n'ai pas grand chose à dire, puisque tu connais mon avis, et c'est donc logiquement que je te donne mon pour, ne serait ce que pour la persévérance derrière ta candidature !

Bonjour et bienvenue sur le forum,

Je m'excuse du délai de réponse mais il m'était impossible d'apporter mon avis précédemment.

Ta candidature est plutôt intéressante en ce qu'elle décrit bien la réalité RP de ton personnage, et fait très naturellement le lien avec la Main du Valet Noir. Le tout est relativement bien écrit, malgré quelques rares fautes d'orthographe.

Je m'interroge cependant sur cet effet de style que tu as voulu inclure en divisant certains mots en deux. Peux-tu nous en dire plus ? En l'état je comprends mal leur présence, sachant que c'est un narrateur qui nous retranscrit le récit, et non Irrisa elle-même.

Ensuite il convient de faire attention aux anglicismes. Naturellement quand on parle de poker, il y a une évocation anglo-saxonne qui s'installe. Mais il faut savoir qu'il existe des équivalents en langue française, par exemple tu parles de full house, mais en français on appelle ça une "main pleine".

Dans un autre registre, tu parles de chatte et de chat, mais, sauf erreur de ma part, il faut plutôt se référer aux termes de chachats et chachattes.

Ensuite, je pense qu'il y a quelque chose d'assez intéressant à construire autour de la place des "tours de magie" et de la prestidigitation en général au sein du Monde des Douze. On imagine assez bien que la perception de cette fausse magie ne doit pas être exactement la même que la nôtre, puisque la véritable magie fait partie intégrante du Monde des Douze.


Il semblerait que tu aies toutefois omis d'écrire la partie HRP de ta candidature.

J'aimerai enfin savoir à quel point cette candidature t'es personnelle, sachant que beaucoup de membres de la Main semblent avoir concouru à sa réalisation. Ne m'étant pas intéressé à ton cas auparavant, si tu pouvais décrire l'historique de la création de cette candidature, cela permettrait d'avoir une vision plus juste de ta démarche.

Je te laisse donc effectuer ces ajouts, et n'hésite pas à poster un message ici lorsque tu auras édité ton message principal.

Bonjour,

Merci de ton avis quant à ma candidature, où malgré les fautes (Que je ne vois pas) j'ai essayé d'en faire un maximum.

Les mots scindés, c'était la séparation automatique Word qui est restée lors du copié collé. J'ai normalement tout réglé.

Pour le poker, j'ai tenté un maximum de traduire les anglicismes, comme avec le Jack et la River, respectivement Croupier et Rivière dans mon récit. Je ferais attention en rp à ça.

J'ai remplacé chatte par chachatte pour définir l'Ecaflip, donc.

J'ai ajouté mon expérience en rp et un peu de motivation dans la partie hrp, puisque c'est nécessaire.

J'ai conçu et écrit intégralement le scénario et le récit. J'ai simplement eu besoin de l'aide de trois membres, ou quatre au plus, pour me rassurer dans ma démarche. J'ai tendance à penser que ça ne passera pas. Et aussi pour la vérification des fautes simplement, un oeil extérieur est toujours plus attentif que le sien. J'aurais tendance à dire que je n'ai plus aucun mérite à avoir fait la candidature puisque j'ai demandé une vérification dans les fautes, mais tout est de ma main.

Pour l'historique, je me suis renseigné, j'ai hésité à rejoindre. Après de longues discussions j'ai accepté le fait qu'Irrisa (qui existait avant que je rencontre la Main) puisse rejoindre une organisation criminelle, puisque de base elle n'était pas prévue pour. Ensuite j'ai rédigé intégralement une fiche perso pour approfondir son caractère et autres. J'en ai fait un dessin pour le design général, entre deux, puis je suis passé à l'écriture du récit. J'ai donc imaginé le scénario de comment il va se dérouler, et imaginer le lien avec la main. L'intervention des membres ne se sont faites que pour avoir confirmation que mon idée de lien ne soit pas trop juste ou invalide. J'ai surtout fréquemment consulté ces personnes pour avoir un "feu vert" avant de passer chaque étape de la réalisation et réduire tout risque d'erreur.

J'espère avoir répondu à toutes tes attentes, et merci de ta réponse.

Bienvenue sur le fofo.

Il y aurait toujours des faute d'orthographe ou de conjugaison, on y peut rien et c'est pas trop grave non plus. (sauf si tu le passes sur 36 site de correction et 36 personne du genre prof de Français.)


Après pour les chats dans Dofus, c'est Chacha et Chachatte pour tous ceux qui son ou on une apparence de chat. Ce qui peut donner a des scène très amusant même si pour les Humanoïde, on va plus dire Ecaflip que chacha ou chachatte.


Et un dernier point, c'est bien un havre-sac que tu as, non ?

Havresac au sens de maison portative compressée comme dispo dans le jeu, non. C'est juste une besace large en toile portée en bandoulière permettant le transport de l'essentiel du matériel d'Irrisa, assez large pour cet effet. Niveau logement, elle n'en a pas de fixe, alternant entre les auberges les meilleurs jours, un coin de rue tranquille les pires, quand elle ne veut pas déranger ses parents.
Le sac d'Irrisa n'a pas de propriétés spécifiques, non.

Bonjour,

Rien à redire sur cette candidature, de bonne facture ! Je suis pour !

Quand je disais Havre-sac, c'est au sens largue. Un havre-sac, c'est objet avec "une dimension parallèle". (c'est comme le sac a main de Hermione dans Harry Potter.) Un sac qui est plus grand que ça taille visuelle. Et, il peut servir a tout. Il a bien sûr une dimension maximum qui ne peut pas dépasser sinon, c'est trop cassé. Mais ça coût un bras, c'est truc là (suivant sa quantité dispo en lui).

Je te dis ça parce que ranger autant d'argent dans un sac classique, je te souhaite bien du courage !

Sinon j'ai rien à rajouter.

Ah oui. Pour la question de l'argent c'est un sujet imprécis. Mais pour me justifier dans ce cas là, qui n'est certainement pas canon, il faut supposer que des pièces de 1000 kamas peuvent exister, par exemple, et raccourcir considérablement le poids.
Sinon non, le sac d'Irrisa n'est pas le Tardis, il est sans effet magique.

Salut à toi,
Je réponds deux jours après avoir lu la candidature (les Xélors et le temps ^^). Menfin, bonne candidature pour ma part, et pour avoir RP un peu avec toi je suis POUR une nouvelle partie de poker ^^.

Vu tes modifications et tes explications, je ne vois aucun inconvénient à ce que tu nous rejoignes !

Bonjour ,bonsoir bienvenue sur le forum !

Tout d'abord j'ai adoré ta candidature même si il y un peu trop de "description" à mon goût , mais ça ne gâche en rien cette magnifique candidature !
Où est la partie "Caractéristique" ça m'aiderait à en savoir plus sur les capacités de ton personnage ou bien c'est volontaire dans ce cas n'hésite pas à me redire.

ENFIN dans l'ensemble c'est une très bonne candidature donc je te donne mon POUR.

Bonne soirée/journée !

Hâte de te voir en jeu !

Hayo,
Pour les capacités, elle n'a aucune réelle magie, mais on y reviendra plus tard.

Je pose ici mes idées, mais elles sont en aucun cas fixe pour éviter de me coincer par l'avenir.

Elle aurait des capacités de manipulation de petits objets, une bonne dextérité dans les doigts quoi. Capable de bluffer plutôt bien, et des connaissances en jeux en tout genre. Elle usera plutôt de la ruse que de ses muscles, bien qu'elle soit plutôt agile de par sa nature.

Ensuite, elle possède deux objets. Son jeu de cartes, où chaque carte est dotée de leur conscience propre de telle manière qu'elle ne se laisseront jamais abîmées (Seules les griffes d'Ecaflip peuvent le faire) et obéissent à quelques ordres comme lors du claquement du doigts d'Irrisa précisé dans le récit.
Ensuite, elle a une pièce à pile ou face basique. La face est une tête de chat qui wink (Like Cheschire Cat) et le pile représente plusieurs piles de pièces. Plus celui qui touche la pièce est riche, plus il y a de pièces et de pile, et vice versa.

D'un point de vue général, j'imagine Irrisa telle une cartomancienne, dans l'idée.

Voilà, je répète que ce ne sont que des ébauches et ne sont en aucun cas fixes.