Candidature de Sid Gottlieb.

Elle avait une dizaine d'années tout au plus. Ses cheveux étaient d'un blond clair, dont quelques mèches plus sombres créaient une harmonie surprenante.
Son visage, lui, faisait penser à celui d'une petite poupée en porcelaine, d'une pureté presque parfaite, quelques petits défauts venant entacher cette aphrodite. En guise de vêtements cependant, la différence était plus que visible, son corps juvénile uniquement couvert de quelques guenilles abîmées par le temps. Ses ailes par contre, étaient, à l'image de son visage, d'une beauté rare. Celle-ci menait une vie simple, ne se souciant du lendemain que lorsqu'il arrivait. Elle s'occupait de son jeune frère, tous les deux s'étaient retrouvés forcé à vivre dans la rue.
Cette jeune fille avait donc appris à chaparder, afin de pouvoir subvenir aux besoins de son cadet, ainsi qu'aux siens. Un jour qu'elle se promenait dans les rues de la cité pourpre, à la recherche d'un repas pour le soir, elle s'y fit aborder par un homme, qui lui demanda le chemin le plus court vers la taverne la plus proche. Celle-ci, d'une bonté ne seyant guère à la ville dans laquelle elle vivait, lui indiqua ce qu'il cherchait, puis reprit sa route.


Le soir venait tandis que son ventre s'animait. La jeune éniripsa trouva finalement une petite miche de pain dans une des poubelles, qu'elle ramassa à défaut de trouver mieux, et prit la route du retour vers le taudis lui servant de maison. À mi-chemin, elle aperçut un banc et décida d'y faire une petite pause, la bougresse ne s'étant arrêté de marcher depuis qu'elle était partie. Et elle ferma les yeux l'espace d'un instant.

Elle sentit alors une forme de douleur le long de ses bras, comme si ses muscles usaient de toutes leurs forces. Elle rouvrit les yeux, espérant savoir la raison de cette douleur saugrenue, mais elle ne vit que du noir.
La panique se frayait peu à peu un chemin vers son cœur. Un détail vint faire grandir cette sensation d'insécurité lorsqu'elle remarqua que le souffle du vent chaud avait disparu, laissant place à un bruit de gouttelette d'eau, tombant à un rythme soutenu, et une forte odeur à la limite du supportable venant saturer ses sens.

Une porte se fit alors entendre, au bruit que celle-ci faisait, on pouvait deviner qu'elle était lourde et vieille.
Une main vint doucement caresser son visage et retirer le bandeau, responsable de la noirceur de son champ de vision.
Ses yeux mirent quelques secondes à s'adapter à la lumière ambiante avant qu'elle ne comprenne enfin la situation dans laquelle elle était enlisée.
La pièce où elle se trouvait était grande, et majoritairement vide, seul un grand bureau, qui était recouvert de divers parchemins et flasques, était présent à sa droite. En levant les yeux, elle découvrit d'où lui venait la douleur qui la tiraillait maintenant depuis quelques minutes. La petite était enchaînée, suspendue par les poignets. Son souffle se fit court et rapide, la panique ayant enfin pris la place qui lui était due.
Du coin de l’œil, elle remarqua une silhouette, grande, imposante.

« -Que- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous me voulez ? » demanda la malheureuse d'un sanglot.
Elle n’obtenue qu'en guise de réponse quelques pas en avant de la silhouette sombre. Elle le reconnu aussitôt, c'était l'homme lui ayant demandé son chemin plus tôt. Il était grand et plutôt élégant malgré sa carrure. Ses cheveux étaient d'un blanc légèrement bleuté et il portait de grosses lunettes rondes par dessus ceux-ci.
Après un court moment de flottement, elle luttant face à la douleur, lui arborant un sourire dur à décrire, il reprit finalement :

« - Rebonsoir jeune demoiselle. Belle soirée n'est-ce pas ?
- P...pourquoi je sui-
- On ne répond pas à la question ? L'homme gardait toujours un air enjoué.
- Je veux repartir... s'il vous plaît, j'ai mon frère qui m'attend, il est encore jeune ! supplia la petite.
- On ne répond pas à la question ? Dit-il en troquant son sourire contre une moue triste et moqueuse.
- S'il vous plaît... »

Il fit quelques pas en direction de sa prisonnière, celle-ci voulut faire un mouvement de recul, mais ses pieds ne touchant plus le sol cette tentative fut vaine.
Alors qu'il était désormais à quelques centikamètres seulement de son visage, il passa une main délicate dans ses cheveux blonds.
La jeune fille, qui sanglotait à chaude larmes, marmonnait quelques suppliques désespérées. Il s'éloigna alors d'un seul grand geste et prit la direction du bureau, dont il ouvrit un tiroir. La paniquée ne put voir ce qu'il en sorti, seulement qu'une fois pris il se dirigea derrière elle, zone hors de son champ de vision.

Elle fut prise d'un sursaut quand elle sentit que deux mains froides lui saisissaient les hanches, la faisant pivoter. Elle faisait désormais face à l'autre moitié de la pièce et sentit un haut-le-cœur lui venir en découvrant l'origine de l'odeur difficilement supportable qui lui attaquait les narines depuis qu'elle s'était réveillée.
Le fond de la salle dans laquelle elle était suspendue était emplie de bocaux, entreposés sur de grandes étagères, tous soigneusement étiquetés. Chacun d'entre eux contenait un liquide verdâtre, dans lequel flottait différents membres et organes douziens. Leur rangement aurait satisfait n'importe quel maniaque tant c'était ordonné. Cette collection morbide était en grande partie constituée de paires d'yeux de toutes les couleurs qui pouvait exister.

Devant les étagères, siégeait une grande table ronde, aussi sertie de bocaux. Dans ceux-ci était exposé, comme des trophées, une queue que l'on devinait venir d'un Osamodas et un grand os ayant sûrement appartenu à un adepte de Sram. À la droite de la table était accrochée, sur ce qui semblait être un podium, une paire d'ailes d'éniripsa masculin, un morceau de chair les tenant ensemble. Il restait de la place à côté de celle-ci pour une deuxième. À l'extrême opposé étaient entassés, comme de vulgaires bouts de viande, une vingtaine de corps survolés par des insectes dont le repas semblait être tout trouvé. Ces corps réunissaient tous les âges, genres et races.
Ne pouvant se retenir davantage, la blondinette lui laissa s'échapper une portion de bile, ne pouvant rien régurgiter d'autre.
L'homme s'approcha de la petite et lui essuya la bouche, avant de lui demander d'une voix grave :

« - Dis-moi petite chose fragile, as-tu peur ? »

La jeune fille tressailli, mais ne trouva pas la force de répondre. Il reprit :

« - Maintenant je vais t'expliquer ce qui va se passer. Vois-tu, je suis ce qu'on appelle un chercheur. J’étudie plus particulièrement les douziens, et le rapport entre leur corps et leur esprit. C'est pourquoi je suis désolé ma petite, mais je crains de devoir te faire du mal. De plus, tu seras parfaite pour ma petite collection. »

À la suite de ses paroles menaçantes, l'homme caressa doucement les ailes de la jeune éniripsa jusqu'à atteindre leur base, sur son dos. Il sortit un couteau et découpa celle-ci, lentement, comme avec plaisir. Cette tâche lui était ardue et délicate, digne d'un travail d'horloger. Il fallait en premier lieu qu'il définisse quel largeur du dos il lui allait garder, afin que les ailes tiennent encore ensemble. Une fois cette mesure prise, il lui fallait ensuite passer à l'amputation de cette nouvelle pièce de collection. Cela se faisait en deux temps. Tout d'abord, il devait donner quelques petits coups de couteau rapides mais précis, indiquant la taille ainsi que la largeur du support. Puis, il fallait ensuite le détacher du reste du corps, cela étant aussi un travail minutieux, car si la première étape avait été mal réalisée, les ailes pourraient ne pas tenir ensemble toute cette opération n'aurait servie à rien.

La victime hurla de douleur, le suppliant d'arrêter, mais cela ne changea rien. Ses hurlements étaient puissants, mais inutile, la pièce suffisamment profonde sous terre pour ne laisser échapper aucun bruit. Son supplice dura près de cinq minutes, qui lui parurent une éternité. La douleur ne cessa cependant pas et elle finit par apercevoir l'homme repasser devant elle, tenant ses ailes avec délicatesse. Il les plaça sur le podium libre, recula de quelques pas, admira sa nouvelle acquisition avant de se retourner vers l'éniripsa dépourvue de ses ailes.
Elle supplia pour que ce martyr cesse, finissant par lui réclamer la mort, de désespoir.
L'homme vint se positionner devant sa victime et lui demanda de répéter sa demande plus fort. Ce qu'elle fit.

Après un rire sadique, il se dirigea vers son bureau, conserva son couteau et pris avec lui deux autres outils, l'un pouvant rappeler une petite cuillère, l'autre ne ressemblant à rien qu'elle connaissait. Il revint vers elle les trois objets en main, et plaça celui qui lui était inconnue derrière ses paupières, lui bloquant le contrôle de celle-ci. Il prit ensuite la sorte de cuillère, qu'il fit lentement passer derrière son œil céruléen. Après quelques secondes, il fit un mouvement de levier délicat, l'expulsant lentement de son orifice. Son œil pendouillait, l'homme le saisit et, grâce au couteau, le libéra de tout lien avec l'éniripsa. Celle-ci n'avait cessé d'hurler de douleur durant l'opération, finissant par s'évanouir.

Il lui trancha la gorge.

Il détacha le corps sans vie de la jeune fille, le jetant sans remords sur le tas déjà formés. Il prit un bocal, le remplis d'un étrange liquide et y laissa tomber l’œil de la victime avant de le refermer et de le déposer sur l'étagère, parfaitement alignés avec les autres. Puis il quitta la cave qu'il ferma à clef, et se dirigea vers la taverne dont le chemin lui avait était indiqué plus tôt dans la soirée.

Il commanda un verre d'eau, et écouta les différentes conversations que tenaient les gens, avant qu'un jeune homme ivre ne retienne son attention. Ce dernier marmonné une étrange mélodie, qui ne lui était pas inconnu.

« Si riche le Balais Noir devint ... ainsi
À loisir ... s'engager
Et lors régna ... une riche ...
... du Balais Noir ... »

Il se leva et engagea la conversation avec l'homme ivre :

« - Eh, l'ami ! Qu'est-ce que tu chantonnes là ?
- Oh... juste une mélodie que j'ai entendue d'un vieillard.
- Tu peux m'en dire plus .
- Hmm, c'est juste une vieille légende urbaine, ça parle d'un balai noir ou un truc  dans le genre.
- J'ai cru entendre que ça parlait de richesse aussi ton truc.
- Ouais, ouais, sûrement un balai en or ou une connerie du genre. Quoique de l'or noir...
- Et tu l'as entendue où ce vieillard toi .
- Euh... j'sais plus trop, dans une taverne d'amakna j'crois... ou d'Astrub. l'un des deux... »

Sans le remercier, il quitta la taverne, prit la direction de sa cave, saisit une sacoche plutôt large, quelques affaires, sa bourse et le bocal précédemment obtenu. Puis il sortit.

Quelle qu'était cette histoire de balais, cela impliquait aussi de l'argent. Et il en avait justement besoin pour financer ses recherches. Le sadique s'était en effet donné pour mission de créer une arme nouvelle, puissante et dévastatrice afin de semer le chaos. Il souhaitait créer un virus, une maladie ne se propageant que selon son bon vouloir. Ce rêve fou et stupide animait sa vie, et bien qu'aucune avancée significative n'avait pointé le bout de son nez, il ne perdait pas espoir.

Un voyage vers le nord s'imposait donc.


Bonjour à tous ! Je tenais tout d’abord à m'excuser en cas de potentielle fautes dans le texte ci-dessus, n'hésitez pas à me le faire remarquer, je corrigerais tout ça.
Ensuite j'espère que ce texte n'est pas trop long... ou trop sordide. J'ai déjà fait quelques coupe et ajustement pour le rendre plus facilement accessible et supportable, étant fan de détails je vous laisse imaginer le premier jet...

En ce qui me concerne et pour être franc avec vous, je n'ai jamais fait de RP textuel et Dofus étant qui me tiens à cœur, je trouve que c'est un bon endroit pour commencer. J'ai en revanche une expérience certaine dans le RP papier, ayant passés d’innombrables heures à le pratiquer.

Quelques précision sur le steamer psychopathe :
Sid Gottlieb est un steamer âgé d'une trentaine d'année. Ayant développé une passion pour le corps humain, il s'amuse à torturer ses victimes au nom de prétendue expérience scientifiques, conservant toujours un œil de ses proies en guise de trophées. Loin d'être repoussant, il est en revanche très bavard, et n'hésite pas à juger et rabaisser ses interlocuteurs. De faible constitution, c'est un bien piètre combattant, mais un fin stratège s'y connaissant en armes en tout genres. Il a l'habitude de bricoler ses propres outils, ayant au fil du temps acquis le savoir nécessaire pour fabriquer des armes presque sur mesure.
Son plus grand défaut est sans aucun doute ses pulsions meurtrières, qui le pousse à tuer, mais toujours avec prudence.

Voilà ! Je pense avoir tout dit. Si jamais quelques questionnement vous taraude me concernant ou concernant Sid, n'hésitez pas !

Bonjour et bienvenue sur le forum !

Commençons par ce qui fâche, à savoir la forme ! De très nombreuses fautes parsèment ton texte et cela en altère la lisibilité. Normalement une partie de ces fautes devrait être mise en évidence par les correcteurs classiques de type Word, ou bien sur les solutions en ligne. Si tu cherches du plus complet il y a des logiciels payants comme Antidote qui sont extrêmement performants (je l'utilise moi-même).

Il y a quelques lourdeurs et maladresses dans la syntaxe, mais s'il s'agit de ton premier écrit c'est un très bon début. Si tu veux encore t'améliorer tu peux aussi essayer de travailler sur les répétitions. De mémoire il y a notamment la blondeur des cheveux qui revient sans arrêt, ainsi que les caresses de Sid. Tu peux chercher des synonymes ou bien des figures de style pour faire varier le paysage !

Maintenant sur le fond je suis vraiment rentré dans ton histoire. Le fait que tu nous induises en erreur sur le personnage principal est finement joué. Toutefois, la fin n'est pas vraiment en accord avec le reste. On ne comprend pas pourquoi il a tant besoin d'argent, au point de quitter son laboratoire sur la base de simples rumeurs. J'en conviens, trouver un lien avec la Main du Valet Noir est la partie la plus délicate !

Cela dit, je n'aurai pas été gêné d'avoir davantage de détails sur la découpe des ailes, ou l'énucléation.

Ton personnage risque de provoquer des situations intéressantes au sein de la Main du Valet Noir. Toutefois, il faut savoir que nous ne cautionnons pas le meurtre des « âmes pures ». Si, en tant que membre, tu étais amené à le faire et que tu étais découvert par la Main, tu encourrais des sanctions irréversibles, voire létales.  

À mon niveau je ne vois aucune objection à ce que tu nous rejoignes. Néanmoins il va falloir soigner un peu tes écrits !

Merci pour cette réponse rapide.

En ce qui concerne les fautes et les différentes répétitions, c'est effectivement un de mes plus gros point faibles. Ceci n'est pas mon premier texte, mais il reste dans la catégorie "un des premiers" ayant assez peu écrit. J'ai aussi effectivement passé ce texte sur Reverso, sans grand succès il semblerait. Je compte toutefois bien m'améliorer dans ce domaine, conscient que ça peut être assez désagréable à lire.

Au niveau du récit ensuite, je suis d'abord ravi que ça t'ai plu. Pour le lien avec la Main du Valet Noir, j'ai effectivement un peu bûché avant de trouver une solution plus ou moins convenable. Pour l'histoire de l'argent, c'est un point que je compte développer en RP si je venais à vous rejoindre mais que je peux expliciter ici au besoin.

Coucou !

La thématique de ton collectionneur d'yeux n'est pas sans me rappeler un rôliste de Pandore...
D'ailleurs, en parlant de ton personnage, que pourrait-il apporter à la Main ?

Voilà un genre de BG qu'on a déjà pu côtoyer dans la Main ! C'est effectivement intéressant ce changement de perspective, où on comprend finalement quel est réellement le personnage central de l'histoire. Dommage, cela dit, que le récit se conclut de façon aussi abrupte sur le Lai, sans que l'on sache exactement quelles sont les motivations de Sid Gottlieb. Cette partie du texte aurait pu être étayée !

Dans tous les cas, je suis favorable à ton entrée dans la guilde.

En suivant les différentes indications que vous m'avez donné, j'ai ajouté quelques détails à mon histoire. J'ai tenté de décrire avec plus de précisions la découpe des ailes/l’énucléation (d'ailleurs ne manger jamais en faisant des recherches dessus...). J'ai aussi rajouter de manière résumée les motivations de mon personnage, afin de vous donnez une idée rapide mais précise.

Ensuite, pour répondre à Arlène Kwinzel, le collectionneur d'oeil de Pandore n'est qu'une coïncidence, mais je suis heureux de savoir que je ne suis pas le seul dans mon domaine !
En ce qui concerne ce que mon personnage pourrait apporter à la Main, c'est une question à laquelle j'avais pas forcément réfléchis, mais là comme ça, je dirais que ses talents en fabrication d'armes ne pourrait être que bénéfique à l'organisation. Après tout, c'est toujours bien de pouvoir avoir quelqu'un capable d'entretenir les armes gratuitement !

Voilà, si vous avez d'autres questions, j'y répondrais avec plaisir !

Bonjour Sid !

Prise par ton histoire dans l'ensemble, c'est une bonne chose de garder quelques zones d'ombre à développer irp et je suis sûre qu'outre ses talents en fabrication d'armes, son intérêt pour le corps humain - si bien encadré - peut déboucher sur des axes intéressants pour la Main. (En tout cas, Yenepha y verrait un certain intérêt...)

De mon côté c'est un Pour, au plaisir de te croiser en jeu !

Bienvenu ici !

Après une seconde lecture, je remarque que des efforts ont été faits ! Nous décrire cette jeune Éniripsa pour mieux la mutiler, c'est finement joué, j'ai trouvé. La simple description des actions horribles que ton personnage exécute le rend froid et macabre à souhait.

La fabrication d'armes serait bénéfique pour la Main, notamment chez le Carreau et le Pique, en effet, mais attention à ce qu'il ne se fasse pas prendre lors de ses petites expériences.

Pour que tu nous rejoignes, et à bientôt en jeu !

Bienvenue sur le forum, avec un temps de retard.

Tant de choses à dire, si peu envie d'écrire... Tout d'abord, comme dit plus haut, félicitations pour nous avoir trompé sur le réel personnage principal. Ensuite, également comme dit plus haut, nous avons déjà eu un cas similaire, du nom de Sakopi Komzar... soit mon père IRP. Pour te la faire courte, je suis une eniripsa qui est elle aussi passée par un savant "fou" qui a modifié mon corps à de multiples reprises. Tu comprendras donc que la situation risque d'être cocasse au sein de la Guilde !

Cependant, même si cela va être dur, le joueur derrière l'écran (c'est moi, ça) sait faire la part des choses et je reconnais que ton texte est très prenant, même si je regrette comme d'autres quelques fautes et un lien trop rapide à mon goût avec la Main. D'autant que Sid à l'air d'un homme méticuleux, je l'imagine très bien faire pleins de recherches, se rendre compte qu'il n'y a que de très légers indices, être prit au jeu et décider de mener l'enquête sur un potentiel trésor.

Enfin, je suis POUR ton entrée en guilde, ou en tout cas ta mise à l'essai. Prions pour que Insty n'ai pas trop vite vent de tes actes...

Ps : n'hésite pas à lire le dossier d'Insty, tu devrais y trouver des détails qui te permettrons de RP plus fluidement en rencontrant mon personnage, nul doute qu'un scientifique saurait reconnaître une créature de choix...

Lorsque tu parles de « talents en fabrication d'armes », de quoi s'agit-il ? Cette thématique n'est nullement abordée dans la réédition de ta candidature (à l'exception de cette vague histoire de virus)... O_o

EDIT concernant l'intervention de mon voisin du dessus : N'utilise que la description physique d'Instylena, tu n'es pas en mesure d'avoir eu vent du reste de ce que tu apprendrais en lisant (toi, en tant que joueur) son dossier.

Bien le bonsoir Sid et merci pour cette candidature.

Je rejoins mes collègues sur les côtés négatifs. Le lien avec la main manque cruellement de matière et les ambitions du personnage auraient aimé plus de développement. De plus, tu n’as pas justifié les bénéfices que la main tirerait de ton enrôlement.

Bon, malgré ces remarques négatives qui auraient pu rendre mon discours pessimiste aux premiers abords, je tiens à préciser que cette candidature possède des points positifs. Notamment l’utilisation du point de vue.

Je tenais aussi à dire que ton personnage est très noir, dans le sens où il ne possède pas réellement de nuances. (Dans ce que l’on peut lire pour l’instant) Le problème d’un personnage aussi manichéen est qu’il peut vite sonner creux et/ou manquer de développement.

Malgré toutes ces petites coquilles ta candidature reste agréable. Je suis donc pour et t'encourage à éclaircir tout ces points d’ombre !